Devant la nullité crasse de l’orthographe et de la grammaire utilisées par certains participants à la Page Libérale dans leurs commentaires, on peut se demander si l’Education Nationale n’a pas fait trop bien son travail…
Aussi, je demande à tous ceux qui emploient un français bâclé, criblé de fautes, d’aller acheter au plus vite un bon livre de grammaire. Allez, un petit Bled pour commencer vous fera le plus grand bien. Et munissez vous d’un dictionnaire aussi car trop souvent il y a d’énormes fautes d’aurtaugraf!!!
C’EST INSUPPORTABLE!
(ouf, fin du coup de gueule, mais c’est vraiment trop)
Effectivement, pour les cas les plus graves, il faut tout reprendre à la base avec les Bled : Bled sur Amazon
Pour les autres il faut une grammaire quelconque.
Plus un dictionnaire, le meilleur, le plus rigoureux et le plus précis étant « Le Petit Robert, dictionnaire de la langue française » (il y a aussi le Grand mais celui-là c’est pour ceux qui n’en sont plus à faire des fautes d’orthographe…) : Le Robert
Plus un guide de conjugaison des verbes, problème particulièrement épineux en langue française. Il faut avoir chez soi et consulter régulièrement le Bescherelle : Le Bescherelle
Ensuite il faut relire au moins une fois son texte avant de cliquer sur « Envoyer ». C’est la moindre des choses.
Pour finir une remarque : « libéralisme » ou « libertarianisme » n’ont jamais signifié je-m’en-fous-tisme, laxisme, médiocrité, sous-culture. Bien au contraire. Evidemment la Page Libérale n’est pas l’Académie Française et encore moins l’armée et nous tolérons les petites fautes ici ou là car tout le monde en fait y compris nous. Il y a aussi des circonstances atténuantes (socio-culturelles, historiques, médicales…) pour certains qu’on peut comprendre. Mais pour les autres les torchons qu’on voit parfois sont intolérables. Alors faites un petit (ou un gros !) effort SVP. Et c’est aussi dans votre intérêt, dans votre vie en général, en particulier professionnelle.
« si l’Education Nationale n’a pas fait trop bien son travail… »
Bon, je n’aime pas parler de moi. Mais ici, c’est anonyme, le Moi nÂ’existe plus.
En fait je suis dyslexique. Ce qui fut découvert l’année de mon Bac. Donc oui, l’Educ Nat, c’est naze.
En fait je n’ai jamais eu de problème de lecture ou de langage. En Ce1 (? après le cp) j’étais abonné à la bibliothèque de mon quartier et dévorais des livres sur l’histoire des celtes, romains, grecques, viking, egytiens (de mémoires ;-).. Et aussi sur l’Univers et les voyages dans l’espace. Sur la physique et ses atomes. C’est d’ailleurs grâce à ces lectures que je me suis aperçu que « il y a des trucs qui ne collent pas » entre les cours et les livres. J’étais un enfant, je me taisais.
Comme j’amenais mes livres à l’école, la maîtresse savait que je lisais. D’ailleurs quÂ’est-ce que je me suis ennuyé à l’école ! JÂ’en savais déjà bien plus long que le cours dans les matières qui mÂ’intéressées. Je ne suivais donc pas. Peut être étais-je un enfant précoce ? J’étais exclut et me retrouvais dans le couloir. Une heure dans un couloir d’école, cÂ’est très long quand on est un enfantÂ…
Mais surtout, j’étais absolument nul en orthographe. Ma moyenne en dictée a toujours été invariablement de zéro.
Or, je devais lÂ’apprendre bien des années plus tard, j’étais dyslexique et incapable d’orthographier correctement à cause de cette maladie. Mais la maîtresse, me voyant lire des livres, ne pas suivre en classe, et écrire comme un porc en concluait que je me fichais d’elle, que j’étais paresseux, que je faisais exprès de mal écrire..
Bref, j’étais soit un rebel, soit un débile, probablement les deux. Donc, rien n’a été fait pour m’aider.
Pendant toute ma scolarité, je me suis traîné avec une orthographe épouvantable, qui me pénalisée invariablement 2 à 4 points sur mes devoirs.
Maintenant, je suis bien meilleur, même si je n’arrive pas à retenir la forme de certains mots.
Une orthophoniste m’a un peu réparé. Mais à mon age, ca ne peut plus être une guérison parfaite.
Bref, l’Educ Nat coupable ? Pour ma part je n’en sais rien, à vous de juger. De toutes façons je les hais tellement que cela m’est totalement égale.
(Texte passé sous un correcteur orthographique pour faire plaisir à Hervé)
Pourquoi (je sais que ça prend du temps…) ne pas corriger les fautes les plus criantes avant d’autoriser l’édition du texte sur le site ?
Tant qu’il ne s’agit que de corrections orthographiques, on ne pourrait taxer Hervé de censure.
Personnellement, c’est ce que je fais sur le mien.
Oups !
J’ai oublié de dire pourquoi je suggérais cela : certains risquent de ne plus oser s’exprimer s’ils pensent se ridiculiser en écrivant mal. Or, toute intervention est potentiellement intéressante.
Mais les intervenants pourraient aussi, c’est vrai, se relire avant d’appuyer sur le sigle « envoyer ».
des fois j’aimerais bien corriger les fautes, mais quand il y en a une par mot, je ne peux tout simplement pas…
donc tant pis si des gens se sentent ridicules, car d’ailleurs ils le sont, et ils n’ont qu’Ã entreprendre une action correctrice bienvenue en achetant un Bled ou un Bescherelle!!!!
NON MAIS :D
PS: je ne suis pas infaillible, je fais plein de fautes hélas.
Personnellement, je m’en remet sur cette question à l’excellent jugement d’une élève surdouée d’une dizaine d’année; elle avait eu une mauvaise note à sa dictée; cela étonnait le journaliste qui faisait le reportage; elle lui a répondu du tact au tac : « Oh, la grammaire et l’orthographe, c’est la science des imbéciles ! »
Les libéraux revendiquent le droit de faire absolument tout ce qu’ils veulent du moment qu’ils ne portent pas préjudice à autrui.
Est ce un crime de ne pas respecter à la lettre les régles compliquées et trop souvent parfaitement inutiles que nous ont pondues nos parasitiques académiciens ?
Non bien évidemment.
Chacun doit être libre d’estropier le français. La seule chose qu’il risque, c’est de ne pas être compris…
et de ne pas se faire éditer sur la PL.
A bas l’académie française !
Vous pourrez trouver à l’adresse suivante un article ou je taille un costard à nos académiciens; et c’est pas un habit vert avec une épée et un chapeau ridicule cette fois :
http://perso.club-internet.fr/cvincent/humour/textes/academiefrancaise.htm
Toutta fé dacor aveque vau propos.
c’est l’une des insultes préférées du Capitaine Haddock, et je crois que c’est à juste titre.
Si les gens ne savent plus lire et écrire correctement, qu’ils n’ont pas assez de vocabulaire pour aligner trois mots de suite, alors on est vraiment dans la MERDE.
Que l’on ne soit pas au TOP de la grammaire etc, je le conçois, d’ailleurs je ne revendique pas l’exactitude, mais au moins un minimum de connaissances!!!
Le niveau d’aurtaugraf est vraiment tombé très bas et je devais réagir, je n’en pouvais plus, comme Eric ABC qui craquait!
Que ceux qui pronent ici le respect des règles de grammaire et d’orthographe ne se sentent pas directement visés par la phrase que j’ai cité. Je ne les traite pas d’imbéciles.
C’est juste une formule, une formule amusante qui plus est, qui relativise l’importance que certains talibans de la langue française donnent aux entorses que l’on peut faire ici ou là aux sacro-saintes règles de l’académie.
Je remarque avec intérêt que ce sont précisément les intervenants de ce site qui écrivent sans fautes et en utilisant un language châtié qui disent accorder peu d’importance à l’orthographe et à la grammaire.
Amusant !
Par ailleurs, est-ce sa qualité de surdouée ou son âge précoce qui nous obligeraient à considérer chacune des pensées d’une gamine de 10 ans comme des vérités indiscutables ?
S’il est vrai que beaucoup des règles de grammaire et d’orthographe françaises sont compliquées et inutiles, elles sont le fruit du hasard historique et des nécessités de compréhension. Les néerlandophones ont résolu ce problème à leur façon, eux qui revoient les règles tous les 20/30 ans, en les adaptant aux usages (le néerlandais que j’ai appris à l’école diffère déjà de la langue écrite actuelle…) Il conviendrait donc peut-être de demander auxdits perroquets verts de l’Académie (qui compte quand même des gens respectables dans ses rangs, comme J.-F. Revel, ou Hélène Carrère-d’Encausse) si une attitude comparable ne serait pas judicieuse.
Mais les règles sont plus importantes que certains ne semblent le croire : un language permet de communiquer, c’est vrai (et dès lors, il faut un minimum de bagage commun entre les parties communicantes) mais il sert aussi – individuellement et collectivement – à réfléchir.
Il doit donc se prêter à des formulations efficaces et rigoureuses, aux règles précises.
Imaginerait-on des règles mathématiques fluctuantes ?
Le langage est une forme d’aliénation… Le langage nous donne l’illusion du sentiment de liberté puisqu’il est la source de notre conscience et de notre individualité.
Pour Nietzschce la liberté n’est qu’une fiction grammaticale. La liberté n’est qu’une illusion du déterminisme linguistique.
Pour ma part j’utilise un logiciel pas cher qui affiche une petite fenêtre dès qu’on l’appelle et qui me donne l’orthographe d’un mot ou la conjugaison d’un verbe dès que j’ai un doute. Voir sur
http://www.microapp.com/fiche_produit.cfm?ref_produit=3425
En 10s j’ai dissipé mon doute. Le Robert c’est excellent pour les définitions mais un peu fastidieux juste pour vérifier un mot.
Nino, je crois sincèrement que tu es mûr pour un petit séjour dans un endroit très bien ou de gentilles personnes feront tout pour calmer tes angoisses existencielles…
On t’apprendra peut être même de nouveaux mots et on t’extirpera le mot déterminisme de la tête, quoi que je me demande si c’est bien possible.
Tiens puisque la liberté n’est qu’une illusion, saches que probablement l’univers n’est qu’une vulgaire singularité issue d’un chaos de rien qui s’est scindé en deux juste pour le fun. Qu’il y a eu très certainement un big bang au début et qu’il y aura un big crunch sur la fin… que l’entropie générale augmente naturellement et que le delta G est toujours négatif ce qui explique pourquoi on meure à la fin du jeu (voire la thermodynamique)…
« Tiens puisque la liberté n’est qu’une illusion, saches que probablement l’univers n’est qu’une vulgaire singularité issue d’un chaos de rien qui s’est scindé en deux juste pour le fun. Qu’il y a eu très certainement un big bang au début et qu’il y aura un big crunch sur la fin… que l’entropie générale augmente naturellement et que le delta G est toujours négatif ce qui explique pourquoi on meure à la fin du jeu (voire la thermodynamique)… »
l’entropie n’augmente que pour un système isolé (sans échange avec d’autres systèmes) ce qui n’est pas le cas des êtres vivants. Les êtres vivants n’ont pas une entropie croissante. Le viellissement a d’autres causes purement biologiques. Par ailleurs si l’univers est l’être absolu le libre arbitre ne peut pas exister. Voir à ce sujet le texte de Guillaumat « liberté et christianisme » sur le site de Christian Michel http://www.liberalia.com
D’après mes souvenirs il me semble que l’entropie d’un système ouvert (par exemple un être vivant) augmente aussi. Mais je ne suis plus très certain, faut que je repotasse !! Question : que se passerait il en cas de big crunch, l’entropie de l’univers diminuerait elle ? La flêche du temps serait elle inversée ?
Je n’ai pas d’angoisses, je vis très bien avec mes incertitudes et mes doutes. Je me sens plus libre que celui qui a besoin de systématiquement donner un « sens » à tout en suivant une idéologie ou une religion.
Je fais comme les physiciens et me réfugie dans l’indéterminisme d’Heisenberg. Il faut donc aller très loin dans l’infiniment petit pour y trouver quelques traces d’indéterminisme qui puissent nous laisser espérer que nous sommes capables d’exercer un certain libre arbitre.
Hier je regardais vaguement un film qui montrait un américain converser avec un africain via un interprete. A un certain moment le taducteur arrête l’américain et lui dit : « je ne peux pas traduire cela, le conditionnel n’existe pas pour lui. Pour lui, ‘tu fais’ ou ‘tu ne fais pas’ mais tu ne peux pas dire ‘j’aurais pu faire’. »
On voit bien là comme le langage est puissant et conditionne le fonctionnement de la pensée.
laurtograf cé trop cynple çi serteins phons dé fote sé kylya un mamoute kèlke pard…
Nino tu piges rien ! L’entropie d’un moteur augmente t’elle ou celle de son environnement ?
En cas de big crunch, on retourne à l’état néant, c’est a dire que toute la réalité s’effondre sur elle même et qu’il ne subsiste rien, le temps même n’existe pas quand il n’existe pas de matière.
Le principe d’incertitude d’Heisenberg concerne la mesure de certaines propriétés d’une particule, a savoir que : l’une de ses lois établit que l’on ne peut pas prendre réellement connaissance des phénomènes que l’on cherche à étudier parce qu’en les observant, on les modifie du moins au niveau des particules.
Alors ne viens pas comparer « l’indéterminisme » ou « le déterminisme » avec un phénomène physique maintes fois éprouvé, en plus d’être inculte, tu dis des conneries : 15 secondes de recherches sur google t’auraient bien épargné du temps.
« On voit bien là comme le langage est puissant et conditionne le fonctionnement de la pensée. »
Mais, rappelles-moi… qui a conçu le langage ? L’Homme ! Ou alors le langage est apparu par génération spontanée ??? Le langage ne conditionne pas la pensée sinon il n’y aurait pas eu d’évolution du langage et de la pensée.
Cher Monsieur Grunert, ma prose parlait de l’univers et de son avenir. Certes l’entropie d’un système ouvert est conditionnée par les échanges effectués mais dans le cas de l’univers, sommes nous dans un système ouvert ou pas ? L’univers est il fini ou pas ? Difficile d’appréhender la taille de l’univers quand l’homme regarde par le trou de la serrure. Quant au delta G, il est toujours négatif, ce qui signifie que l’on va toujours vers l’état le plus stable, peu importe le chemin pris.
« Par ailleurs si l’univers est l’être absolu le libre arbitre ne peut pas exister. »
L’univers n’est pas l’être absolu puisque qu’on a pas la preuve de l’existence, ou non d’autres univers… tout est question de référentiels et du chemin adopté !
Cher Léninio,
je viens de lire votre texte portant le titre « Nietzsche dixit »
J’avoue le trouver peu clair : commentez-vous des pensées du grand Friedrich, ou celles que vous m’attribuez ?
Si vos propos font référence à l’un ou l’autre aphorisme de cet illustre et misérable penseur, ayez la gentillesse de me faire savoir lequel, et de me dire en quoi il se rapporte à mes paroles précédentes, ou au sujet de cette brève.
Si par contre vous croyez connaître assez mes idées pour lancer des affirmations en mon nom, faites-moi la grâce de me donner un cours pour me faire savoir ce que je pense vraiment. Vous me rendrez service, puisqu’apparemment je l’ignore
Je ne souscris en rien à votre audacieuse affirmation initiale : « le langage est une forme d’aliénation ».
Au contraire, le langage est propre à l’espèce humaine, et sous des formes diverses, à l’ensemble des animaux supérieurs. Il est donc inné, inclus génétiquement dans les systèmes nerveux desdits êtres complexes. Dès lors, c’est bien plutôt l’empêchement de la communication qui entraîne une aliénation d’une partie de la personnalité innée.
Pour le reste : « le langage nous donne l’illusion du sentiment de liberté puisqu’il est la source de notre conscience et de notre individualité ».
1°) la liberté est un état de fait constatable (absence de toute contrainte); son sentiment peut effectivement se discuter – même si les individus ne sont pas idiots, et qu’ils finissent toujours par reconnaître la réalité pour ce qu’elle est (à part les membres éminents du Parti, peu de gens se sentaient libres en URSS…ou en Allemagne nazie)
2°) les sentiments préexistent au langage, et celui-ci permet seulement (pas toujours, et pas toujours de manière adéquate) de les objectiver. Donc, le sentiment de liberté est indépendant du langage. Ce dernier peut seulement le nommer, jouer avec ce concept et l’analyser.
3°) notre conscience est la forme sous laquelle notre cerveau se représente à lui-même. Dans ses manifestations les plus simples (chez les très jeunes enfants) elle correspond à un sentiment. Dans ce sens, elle est donc indépendante du langage. Quant à notre individualité, elle est probablement liée aux premières expériences plaisantes de notre cerveau (« quand je bois du lait, c’est dans MA bouche qu’il se répand et c’est MA faim qu’il satisfait »). Or, vous savez bien que les animaux qui n’usent pas d’un langage articulé sont tout à fait capables de distinguer les expériences agréables de celles qui leur sont pénibles. Dans ce sens, ils sont donc individualistes.
Tout ceci étant posé, le langage n’est ni la source de notre conscience, ni celle de notre individualité, ni celle de notre liberté, et encore moins celle de son sentiment.
La seule concession que je vous doive, c’est que les sophismes liés aux représentations symboliques telles que la parole peuvent générer des illusions de durabilité variable (même si, comme je l’ai dit, elles ne résistent pas très longtemps à l’analyse des faits). Donc, le langage peut donner l’illusion de la liberté pendant un certain temps – mais pas son sentiment.
Dès lors (et pour ces raisons logiques) je ne peux souscrire aux pensées que vous me prêtez lorsque vous affirmez que la liberté n’est pour moi qu’une fiction grammaticale (en faisant un raccourci audacieux et poétique, de la notion de langage à celle de grammaire…) ou une illusion du déterminisme linguistique (là , je me dois de confesser mon incompréhension totale : pourriez-vous traduire en bon français, siouplaît ?)
Nietzsche, d’Entrez Libres.
Je vois l’indéterminisme dans le phénomène d’incertitude montré par Heisenberg : on ne peut à la fois connaitre la position et la vitesse d’une particule. Cette incertitude m’arrange bien et me permet d’y glisser mon HUMANITE, celle qui fait de MOI un être disposant d’une certaine LIBERTE.
Point final personnel sur la définition de la liberté.
Pour ce qui concerne la taille de l’univers, il me semble qu’elle doit être à peu prés égale à celle de l’univers observable soit environ 15 milliard d’années lumières. Le reste ne fait pas partie de notre univers. On peut donc imaginer n’importe quoi.
La flêche du temps est souvent assimilée à l’augmentation de l’entropie. Que se passerait t’il si notre univers se contractait ? L’entropie continuerait elle à augmenter ? Si non, que ferait le temps ?
Je suis completement d’accord, la liberté s’accorde mal avec l’absolu. Certains, comme stephen Hawking sont à la recherche de la théorie du tout et s’ils là trouvent un jour, nous serons devant l’univers, devant Dieu, et nous serons enchainés à cette théorie unificatrice.
Tu confond le déterminisme et une autre idée:Lorsqu’on parle de déterminisme,il s’agit de la non-liberté supposée de l’individu face à sa conscience.Dans ce cas,l’individu serait privé tout simplement de liberté.Or,ce dont tu parles n’est pas de la supposée non-liberté de l’individu face à lui-meme,mais face à ce qu’il était prédestiné(rien à voir avec la calvinisme!)à faire,en fonction de ses seniments,du lieu où il est né,de son intelligence,sa volonté…ce qui est tout à fait différent.
Autrement dis,le fait que je sois prédestiné à faire quelque chose(l’Histoire future est déjà écrite) n’enlève rien à ma liberté de la faire,puisque,contrairement aux objets inanimés,l’etre humain possède une intelligence.Avec un ordinateur extremement puissant,peut-etre pourrait-on calculer ce que quelqu’un ferait dans le futur(sauf que si celui-ci ou quelqu’un d’autre l’apprend,cela changerait le cours de l’Histoire…).Comparer le libre-arbitre de l’esprit humain avec les impossibilité de prévoir ce que des particules ferons n’a tout simplement aucun sens,mais là aussi tu confond la prédestintion avec le supposé déterminisme…
Je suis libre de faire ce que je devais forcément faire!
De plus,cela indique que tu prends l’Individu pour un objet inanimé,une chose,ce qui est bien la fumeuse philosophie des socialistes.