I-télévision nous présente le « bureau d’Olivier Besancenot ». Un type qu’il en a de la chance: petit facteur il a suffisamment de temps pour avoir des hautes responsabilités politiques. Lui au moins personne ne lui reprochera sur son lieu de travail ses opinions!
Lors de cette publicité gratuite interview, le journaliste pointe quelques objets sur le bureau même de Besancenot:
– le livre ?
– ah non c’est pas le mien
– le téléphone ?
– ah oui, c’est à moi
Depuis quand un communiste reconnait la propriété privée ?
Communisme=Nazi
on ne peut pas faire plus court comme commentaire!
ceci dit il y a plus qu’un fond de vérité: idéologie, méthodes, victimes, expansionnisme, racisme… tout en commun.
Excellente remarque Hervé. Cela démontre bien la schizophrénie des communistes, qui elle-même découle de l’incohérence fondamentale de leur philosophie politique. Pour nier la propriété privée ils sont obligés de présupposer sa validité et le droit qui lui est attaché.
Mais c’est hallucinant:je peux pas blairer la lcr mais elle n’est pas contre TOUTE propriété privée.C’est pas du débat politique que d’attaquer le facteur démago sur cela, c’est de la blague de comptoir.
« la lcr mais elle n’est pas contre TOUTE propriété privée »
nooooon, juste contre celle de ces saligauds de patrons qui bossent 15 heures par jour et créent les emplois dont l’Etat s’attribue tout le mérite ensuite…
Donc elle n’est pas contre la propriété de TOUT le monde
je vote LCR parce que les gens de votre espèce me font gerber. Bouh les vilains impôts (comment on les construits vos routes, connards ?), bouh les profs feignants (comment vous avez appris à lire, connards?), bouh on me prend tout mon argent!
le liberté par si, la liberté par là , en voilà une idée novatrice !!!
Le nazisme ? Mais vous êtes vachement bien placés pour en parler ! Les nazis reviendraient, vous seriez les premiers à vous jeter à leurs pieds; ne me tuez pas ! embauchez moi pour casser du juif et du résistant, s’il vous plaît !
ah la belle brochette d’enculés, tiens.
» je vote LCR parce que les gens de votre espèce me font gerbe »
ça sert aussi de sac à vomi la LCR?
« comment on les construits vos routes, connards ? »
j’en ai rien à battre je conduis pas.
« comment vous avez appris à lire, connards? »
avec ma mère
« Le nazisme »
quel rapport avec les impôts?
« Les nazis reviendraient, vous seriez les premiers à vous jeter à leurs pieds »
comme les communistes avec le pacte germano-soviétique?
« embauchez moi pour casser du juif et du résistant, s’il vous plaît ! »
oh t’as déjà été résistant toi? T’as déjà torturé un SS pour le faire parler? T’es un héros, un gentil qui va sauver le monde toi.
« ah la belle brochette d’enculés, tiens. »
ouhhh mais qu’est ce qu’on est méchaaaaaaants. On croirait presque que les libéraux ont tué 100.000.000 d’innocents comme tes copains communistes pour un peu…
» je vote LCR parce que les gens de votre espèce me font gerber »
Tu es ce qu’on appelle un aigri. Incapable d’entreprendre et de t’épanouir par toi-même, incapable de prendre le moindre risque dans la vie et donc de te sentir ssatisfait de toi-même, tu es, comme il fallait s’y attendre, tout aussi incapable de « casser du riche » toi-même (ou du bourgeois ou du juif): tu es trop lâche pour ça, comme tous les aigris, tu préfères mandater des professionnels de la casse à ta place. Logique, pour un lâche.
M. Duray, ne confondez vous pas propriété privée des moyens de production et propriété privée tout court.
Il ne peut y avoir de distinction entre propriété privée « tout court » et propriété privée « des moyens de production ».
La propriété naturelle de tout individu est :
celle sur son corps,
donc sur les produits du travail de son corps,
donc sur les produits des échanges libres des produits du travail de son corps;
Les « moyens de production » sont acquis de ces manières (ses bras, ses outils, ses machines, etc.).
Prétendre introduire une distinction entre propriété privée et propriété des moyens de production revient à dire que ces moyens de production appartiennent à d’autres qu’à ceux qui les ont produits. Car que sont donc ces moyens de production? Des machines, des outils, une terre travaillée, labourée, semée…, un bras, une main, un cerveau, etc.? Et s’ils n’appartiennent pas à ceux qui les ont produits (par le travail direct, par la nature ou par l’échange), à qui donc appartiennent-ils? A la « collectivité » (toujours représentée par quelques uns…)? au « Parti »? à l’avant-garde éclairée (et très bourgeoise…) du prolétariat? à Dieu? à Don Corleone? Ne cherchez pas, tout est bon et se résume à : Ceux qui prétendent transformer les autres en esclaves.
Nier la propriété privée des moyens de production (et donc légitimer une confiscation collectiviste de ces moyens, en réalité au profit de quelques privilégiés « décideurs », voir les exemples historiques dans la Catalogne CNTiste ou les sociétés utopistes nord-américaines du XIXème siècle, pour ne pas prendre les exemples trop évidemment totalitaires des criminels bolchevistes en tous genres) c’est nier la propriété privée tout court, et en fin de compte nier la propriété de l’individu sur son propre corps. C’est donc faire de la propagande esclavagiste.
Celà me rappelle Ayn Rand:
« Les mystiques ont toujours voulu posséder des esclaves, pour se protéger de la réalité matérielle quÂ’ils redoutent. Et vous, petits atavistes grotesques, vous regarez avec des yeux aveugles les gratte-ciel et les cheminées dÂ’usine qui vous entourent en rêvant dÂ’asservir ceux qui les ont érigées, scientifiques, inventeurs ou industriels. Quand vous exigez la propriété collective des moyens de production, ce que vous réclamez en fait, cÂ’est la propriété collective de lÂ’intelligence. (…) »
« Vous proposez d’établir un ordre social fondé sur le principe suivant : que vous êtes incapables de diriger votre vie personnelle, mais capables de diriger celle des autres ; que vous êtes inaptes à vivre librement, mais aptes à devenir un législateur tout puissant ; que vous êtes incapables de gagner votre vie en utilisant votre intelligence, mais capables de juger des hommes politiques et de les désigner à des postes où ils auront tout pouvoir sur des techniques que vous nÂ’avez jamais vues, des sciences que vous nÂ’avez jamais étudiées, des réalisations dont vous nÂ’avez aucune idée, des industries gigantesques dans lesquelles, selon votre propre aveux, vous seriez incapables dÂ’exercer les fonctions les plus modestes. »
« Vous êtes des dépendants ; de cette dépendance innée provient votre culte du zéro : ce sympbôle dÂ’impuissance que vous vénérez est lÂ’idée que vous vous faites de lÂ’homme et la référence à partir de laquelle vous cherchez à remodeler votre âme. ‘CÂ’est humain !Â’ gémissez-vous à la vue de nÂ’importe quelle dépravation, vous rabaissant vous-même au rôle de ‘lÂ’humainÂ’ tel que vous le concevez : celui du faible, de lÂ’imbécile, du perfide, du menteur, du défaillant, du couard, de lÂ’escroc, mais jamais, au grand jamais ! celui du héros, du penseur, du producteur, de lÂ’inventeur ou de lÂ’homme dÂ’action, comme si ‘ressentirÂ’ était humain, mais non penser, comme si échouer était humain mais non réussir, comme si la corruption était humaine mais non la vertu. Comme si la mort était le principe de lÂ’humanité, mais non la vie. »
Atlas Shrugged, « This is John Galt Speaking »