Veille du matraquage éditorial (et médiatique) gauchiste :
Fred (Frédérique) Vargas La Vérité Sur Cesare Battisti, Ed. Viviane Hamy.
Le livre – de pure propagande : Battisti est un gentil innocent, un valeureux combattant de la « justice sociale » persécuté par l’Etat policier et fascisant italien etc. – sort dans quelques semaines mais France-Inter en faisait déjà la promotion le jeudi 29 avril en invitant l’auteureÂ… A noter que celle-ci est chercheuse en histoire et archéologie au CNRS et écrit aussi des romans policiers. Apparemment ça laisse pas mal de temps de bosser au CNRSÂ…
etre de gauche en france excuse tout: les meurtres, les attentats…
Cela vient que toute la gauche s’est construite sur l’idée que la violence est légitime et elle n’est pas préte de renoncer à cette idée de la violence comme moyen politique.
A droite une telle idée se trouve dans une frange trés extreme mais a gauche c’est une chose communément acceptés.
Se définisant comme le camp « progressistes » face à des « conservateurs » qui freinent selon eux les mouvements vers le bien étre « collective » pour conserver leurs biens toute violence à l’encontres de ces conservateurs est légitime puisque se faisant au nom du plus grand nombres.
Le milieu du polar français (merci Manchette) est notoirement noyautée par l’extrême-gauche, mais je n’en suis pas moins étonné et plutôt déçue de voir Fred Vargas se joindre à la meute des pro-Battisti. Ses livres m’avaient semblé un peu différents des libelles gauchistes auxquels se résument de plus en plus la majorité des romans dits « noirs » francophones. Preuve qu’il ne faut jurer de rien…
Quand tu es de gauche dans ce pays, tu peux te permettre de tuer des gens surtout si c’est pour la cause. Que ce mec soit en liberté, c’est à vomir et cela prouve à quel point la France est une démocratie de pacotille. Ce ne sont plus les élus qui gouvernent, mais des groupes de pressions presque tous marqué à gauche. J’espère que Battisti sera extradé, jugé, et qu’il prendra perpète comme le lâche qu’il est. En attendant, le crime paie.
On ne renie pas ses vieux amis, même en leur donnant le baiser de la mort :
http://frkc.free.fr/revuec/dantec_cesare.htm
La fonction publique est un virus. Il faut donc tgrouver un remède. Je rappelle pour mémoire qu’en 1981, le président des Etats-Unis, Ronald Reagan, confronté à une grève des contrôleurs aériens, leur a dit la chose suivante: « Si dans 48h vous n’êtes pas retournés à votre poste de travail, je procéderai à des licenciements ». Croyant au bluff, les contgrôleur n’ont pas repris travail. Le mercredi suivant, 48h après, plus de 13000 personnes étaient licenciées manu militari. Depuis, les grèves dans la fonction publique n’existent pratiquement plus aux Etats-Unis. Un exemple à suivre? Certainement!