Un bon père de famille

« l’Euro est une victoire de l’Europe », « Avec l’entraide, les nouvelles habitudes vont venir », sans parler de la solidarité avec les vieux, les victimes des catastrophes naturelles, les déshérités, les moins riches que les riches etc., Jacques Chirac s’est adressé au Français « en bon père de famille ». Le paternalisme est un argument électoral très porteur en France, patrie de la « liberté ». Mais au fait, Chirac a oublié les victimes des catastrophes politiques. Et ceux-là se comptent à environ 60 millions, mais pour des raisons souvent différentes, ce qui rend le fait moins évident. Et c’est bien là le problème. Comment comprendre que TOUT LE MONDE a intérêt à réduire l’Etat au minimum ? A zéro, même.