Bien que la prostitution soit le plus vieux metier du monde, il n’en reste pas moins le plus remis en cause. Tout du moins dans les pays dit « libres ».
Un grand pas en avant a cependant ete acompli. Le debat porte de moins en moins sur la moralite mais sur le caractere ethique: la prostitution est elle une forme d’exploitation qui doit etre abolie ou une activite qu’il faut reglementer ?
La reponse est ni l’un, ni l’autre. C’est une liberalisation qui est necessaire.
Car le plus inacceptable n’est pas de definir ce qui est moral ou non; le plus inacceptable c’est bel et bien la negation et la confiscation des libertes individuelles. «Over himself, over his own body and mind the individual is sovereign»
(John Stuart Mill, On Liberty)
Debat sur la legalisation de la prostitution
Bien que la prostitution soit le plus vieux metier du monde, il n’en reste pas moins le plus remis en cause. Tout du moins dans les pays dit « libres ».
Les prostituees ont ete considerees de differentes manieres au cours de l’histoire. Sous la Grece Antique, ls prostituees faisaient partie integrante des rites religieux. Sous la France de l’Ancien Regime et sous Napoleon, les courtisanes etaient des femmes bien elevees et cultivees. Elles n’etaient pas simplement tolerees: elles etaient veritablement respectees.
Les temps ne sont bien evidemment plus les memes, mais il est interessant de faire cette petite precision historique.
En France, c’est Francoise de Panafieu qui a involontairement relance le debat sur la liceite ou non de la prostitution.
Cela partait pourtant d’une bonne intention puisque notre deputee fraichement reelue proposait d’autoriser la reouverture des maisons closes, disparues peu apres la guerre, en 1946.
Malheureusement la polemique a enfle les jours derniers. Avec l’arrivee massive des filles de l’Est, le marche de la prostitution prend un nouveau visage qui amene les gouvernements europeens a reflechir sur le plus vieux metier du monde. Et les medias se font le relais des differentes experiences menees en Europe au cours de ces dernieres annees.
L’exemple le plus aberrant est celui de la Suede. Ce pays scandinave sans histoire sanctionne penalement depuis quelques mois les clients des peripateticiennes et sert d’exemple a la cause anti-prostitution. Mesure hypocrite puisque desormais celle-ci s’organise differement. Il en decoule une prostitution plus cachee, en appartement. De plus, qu’est ce qui justifie la criminalisation du client ? Celui-ci est il coupable d’une faute ? L’acte sexuel s’est il effectue sous la contrainte ? Que nenni.
Afin de justifier la mise en place de cette mesure , Margaretha Wimberg, le ministre suedois de l’egalite des sexes declare que « traiter une personne comme une marchandise, meme avec son consentement, est un crime ». C’est la qu’est le noeud du probleme. Qu’importe la maniere dont on me considere, je m’en moque. Le plus important , c’est justement de decider ce qui est le mieux pour moi. Le crime c’est de se voir imposer une morale contre son propre gre.
En Allemagne pourtant, et cela passe inapercu, une loi votee en decembre dernier a normalise la prostitution comme un metier en tant que tel, soumis a l’impot et autres cotisations sociales. Le Figaro note ainsi que « l’Etat allemand, perclus de deficits, a jete un regard concupiscent sur les enormes revenus du milieu, estimes a quelques 6 milliards d’euros par an, autant que les grosses entreprises du pays ». Au placard donc la pseudo morale visant hypocritement a rendre illicite le metier le plus vieux du monde. L’Etat oublie soudainement la « morale publique » lorsque cela est dans son interet.
Un grand pas en avant a cependant ete acompli. Le debat porte de moins en moins sur la moralite mais sur le caractere ethique: la prostitution est elle une forme d’exploitation qui doit etre abolie ou une activite qu’il faut reglementer ?
La reponse est ni l’un, ni l’autre. C’est une liberalisation qui est necessaire. Il ne sert tout d’abord a rien de reglementer des « bordels legaux ». Les prostitues n’ont pas besoin qu’on les oblige a subir ce type de controles. Elles se soumettent d’elles-memes a des visites medicales en vertu des regles de libre-concurrence. La liberalisation, et ne serait-ce que la legalisation de la prostitution, permettrait une amelioration de la condition des prostitues: plus d’hygiene, moins de traffic de femmes et d’enfants qui se prostituent par contrainte, et plus de securite car cela peut se faire dans un endroit clos et surveille (les maisons closes). Le proxenete, qui est dans la majorite des cas la cause des problemes rencontrees par les prostituees disparaitrait ainsi progressivement pour laisser sa place a des entreprises privees fonctionnant comme toutes les autres.
Mais avant tout, chacun est libre de faire ce qu’il veut avec son propre corps. Personne n’est en mesure de juger a la place d’autrui, et chaque individu possede des droits moraux propres sur son propre corps et sur l’exercice de celui-ci. C’est le « self ownership » qui doit prevaloir. Ce dernier est d’ailleurs le principe premier du liberalisme: la propriete privee commence par la propriete de soi.
Les differents arguments visant a justifier la liberalisation de la prostitution ne font pas fi des conditions souvent de desolation dans lesquelles cette activite a lieu; ils ne justifient en rien
La ligne de partage repose sur la distinctin entre la prostitution libre, revendiquee par les travailleuses sexuelles, et la prostitution forcee, ou contrainte.
Il est evident qu’une petite Thailandaise de 13 ans qui officie dans un bordel a Pattaya en risquant d’etre contamine par le virus du SIDA, n’est en rien consentante. C’est a l’encontre de cette atteinte a la liberte individuelle que devraient plutot lutter les differentes associations abolitionistes.
Car le plus inacceptable n’est pas de definir ce qui est moral ou non; le plus inacceptable c’est bel et bien la negation et la confiscation des libertes individuelles.
Liens a ce sujet:
http://www.freedomusa.org/coyotela/coyotela.html
que voulez vous dire avec les différents arguments visant à justifier la libéralisation de la prostitution ne font pas fi des conditions souvent de désolation dans lesquelles cette activité a lieu; ils ne justifient en rien
et alors il n’y a plus de suite… merci de répondre
Oui les prostituées sont les défenderesses de la liberté, c’est incontestable.
Vive la liberté !
…de ce faire exploiter par un proxenete ou de n’avoir d’autre choix que de vendre ses parties génitales en se les gelant sur le trottoir.
Bravo !!!!!!!
Rem : tous les soirs je vois en bas de chez moi ces adeptes du libéralisme et elles ne m’ont pas l’air très heureuses.
Contrairement a ce qu’on pense les libéraux ne sont pas tellement pour une legislation permissive.
Car la prostitution n’est pas souvent voulue la prostituée n’a pas toute sa liberté seule une petite minoritée de prostituée font le commerce de leurs charmes de leurs plein gré.
Non les partisans les plus acharnés de la légalisation de la prostitution viennent bien de la gauche libertaire.Pour eux tout ce qui favorise la promiscuité et contribue a détruire l’ancien systéme de valeurs est bon c’est pour ça que eux d’habitude si prompt à dénoncer « l’exploitation » des travailleurs ferment les yeux sur celles autrement plus réelle de celles du sexe.
Et surtout contrairement a ce qu’on pourrait penser le libéral n’est pas un relativiste moral comme l’homme de gauche.
Si il reconnait le droit de tout un chacun de vivre comme il l’entend il sait néanmoins que tous les comportements ne sont pas égaux.Certains permettent d’avancer, d’évoluer d’autres sont peu constructifs.
Ainsi mieux faut étre fidéle et fonder une famille que de vivre une vie de baton de chaise.
Ce que refuse de reconnaitre la gauche justement
Principe libéral: chaque personne est propriétaire de son corps. Chaque personne a donc le droit de faire commerce de son corps… y compris (pourquoi pas après tout…) de vendre son rein, ou de se prostituer.
Effectivement la prostitution telle qu’elle est pratiquée aujourd’hui entraine un tas de problèmes puisqu’elle est interdite: dès lors que c’est une activité criminelle, des criminels prennent en charge le business, avec le cortège de violence, de maladies, de drames qui s’ensuit…
Un peu comme le marché de la drogue…
Libéral cohérent (libertarien), je ne me reconnais pas dans les « libertaires » façon cohn bendit, mais je suis avec eux si il s’agit de demander la liberté totale d’exercer la prostitution, dans la limite des droits de propriété: une pute peut faire le tapin si elle a acheté le droit sur un bout de trottoir…
Ceci ne veut pas pour autant dire que j’approuve la prostitution en tant que tel…
Bizarre d’accepter l’esclavagisme au nom de la liberté. La presque totalité des putes n’aiment pas ce qu’elles font. Elles ne le font pas pour exercer leur droit sur leur corps mais pour avoir de quoi vivre.
Je crois que Hervé tu es en pleine contradiction avec tes principes de liberté. Il n’y a pas de liberté à faire quelque chose que tu ne choisis pas.
Bon…
relis le commentaire au-dessus: je suis pour la liberté des prostituées à faire ce qu’elles veulent de leur corps.
Ai-je dit que je voulais qu’elles soient enfermées et battues par les proxénètes ? non.
est-ce que je suis esclave de mon boss parce que j’ai signé un contrat ? Non, parce que c’est volontaire.
Si une prostituée l’est de façon volontaire, je ne vois rien de problématique.
Oui tu es l’esclave de ton Boss. D’une certaine manière. Parce que intrinsèquement tu as besoin de Fric pour survivre.
On touche là ce qui nous sépare fondamentalement sur le principe de la liberté.
Tu es libre quand tu n’as pas de besoins.
Bon okay… on est TOUS esclaves de nos besoins.
T’as réussi à prouver quoi avec ta réthorique ?
Rien. Adieu El Nino, c’était la dernière pollution que tu commettais sur ce site. J’en suis le webmaster/fondateur, je l’ai codé de A à X (Y et Z j’ai laissé ça à des gens plus compétents) et je peux te foutre dehors si je veux.
Si tu as envie de défendre une société socialiste, où tout le monde sera libre car plus personne n’aura de besoins, ni de propriété, 6 pieds sous terre car fusillé récemment, libre à toi. Mais ici j’en ai marre. Ciao
Libre aux autres auteurs du site d’approuver ses commentaires… moi je m’abstiendrai.
c’est interresant ce que dévoile el nino on touche au fond de la mentalité du gauchiste c.a.d. le refus de se faire face au obligations.C’est pour ca que le gauchiste voit la famille, l’entreprise qu’uniquement comme une structure aliénante.Pour lui seul la réalisations de ses envies lui importe.
Il n’arrive pas à intégrer le renoncement, Il voudrait vivre sans avoir d’obligations, de responsabilités il veut que l’état prennent tout en charge et qu’il n’ai à répondre de rien (pas d’obligations familiale ou de rentablilité)
la prostitution c de l’esclavage..
et penser qu’une femme qui se prostitue n’a pas pu faire ce chois c quoi, sinon refuser le fait qu’elle puisse faire un choix qui ne convient pas à votre morale perdique ?!
oui, je m’NRV, parce que la prostitution je connais, et les prostituées aussi..
Si la personne se prostitue contre son gré, alors c effectivement un esclave..
Et les prostitués qui choisissent, et ceux qui tournent des films pornos ??
Si les prostituées se gelent sur les trottoirs c que la loi nterdit à une personne de leur louer un logement, sous pein d’etre taxé de proxo, bande de nazes..
les prostituées ont manifesté pour leurs droit, vous en faites quoi, elles avaient pas le choix ??!!
Si vous refusez le fait qu’une femme puisse CHOISIR d’avoir des rapports sexuels en échange d’un ecrtain profit, alors vous refusez tout simplment le fait qu’un femme puisse faire un choix, point barre.
Un chiffre intéressant entendu à la radio :
selon la Police Nationale, 80% des prostituées seraient indépendantes,
et seulement 20% auraient un maquereau. Un vilain coup au mythe de
la prostituée esclave soumise…
La prostitution pose un véritable dilemme dans mon esprit d’un coté claire à raison de dire qu’une femme à le droit d’avoir ce choix bien que je ne puisse le comprendre mais d’un autre cotés la prostitution contribue à perpetuer cette image de la femme soumise au désir de l’homme, qui n’est qu’un bout de chair.Il est faux de dire que tirer profit de son corp c’est comme tirer profit d’un travail.
Mon patron n’achéte pas mon corp il achéte ma capacité à faire un travail pour lequel j’use de mon corp ou de mon cerveau mais il n’a que le produit de ce travail jamais il ne touche à ma personne.
Cette question permet de voir la différence entre un libertaire et un libertarien.Pour le libertaire la moral est désuete (merdique dirait certains) et tous les choix sont égaux c’est pour ca qu’il ne peut se passer de l’état car bien évidemment cetains choix ménent à des impasses et sans l’état ces choix serait vites discrédités dans la société.
Ainsi faire des enfants en dehors d’une relation stable serait un choix que nombre de personnes refuseraient de faire si l’état n’était pas la pour pallier leurs défficiences tant les difficultés sont grandes.
Le libertarien sait qu’il est responsable de lui même et que ses choix doivent étre bien pesé.
« la prostitution contribue à perpetuer cette image de la femme soumise au désir de l’homme »
Excuse moi, et les gigolos ?? la prostitution n’est pas reservée aux femmes…
Qd à la soumission, je trouve qu’un homme qui file un billet pour une relation sexuelle est bien plus soumis à son propre désir que la femme qui prend son billet pour le satisfaire…
Qui plus est, la femme soumise au désir de l’homme ct avant la libération de la femme (elle appartenait au père puis au mari).. maintenant elle a le choix, il y a des femmes indépendantes et très « masculines » et d’autres très « popotes » qui sont satisfaites de rester à la maison, s’OQP eds enfants et de leur éducation..
Il en faut pour tous les gouts.
Pourquoi ne pas revenir au système des maisons closes?C’était un système »propre » et régementé et en plus les passants n’étaient pas importunés.
El Niño pose des questions et s’interroge. Inutile de s’énerver et de répondre de façon autoritaire que c’est ton site et que la possibilité offerte d’y discourir n’est qu’une liberté octroyée par le maître des lieux. J’avais compris tes limites à la liberté dÂ’expression sur ton domaine.
Evidemment que la jeunesse, l’idéalisme ou la croyance implique une radicalisation de la pensée. Evidemment que l’on ne peut condamner ad vita eternam quelqu’un pour ses idées passées. Evidemment que Jospin et Madelin ne sont plus ceux qu’ils étaient il y a plus de trente ans. Néanmoins le texte sur Madelin disait que certains de son entourage et que certains de ses discours ont encore DE NOS JOURS un goût de reviens-y, c’était cela l’intérêt du texte. Maintenant Madelin je m’en contrefiche c’était juste une remarque faisant suite à sa prétendue « gentillesse ». Un type qui fricote avec le FN n’est pas vraiment gentil à mes yeux.
Pour ce qui est des interrogations les miennes sont simples et sont la cause de ma venue sur ce site parce que je cherche des réponses ou des arguments à mes propres réponses :
Qu’est ce que la liberté ?
Qu’est ce que l’égalité ?
Peut il y avoir liberté sans égalité ?
Quelle est la légitimité de la démocratie ?
Me répondre que « tout le monde est esclave de ses besoins » n’est pas anodin. En effet peut on espérer obtenir une forme de liberté tant que nos besoins (élémentaires ou moins élémentaires, la limite est difficile à tracer…) ne sont pas assurés ? Inutile de me traiter de coco pour cela. Mais il est évident que votre approche jusqu’au boutiste de la liberté montre quelques limites :
Vous refusez tout déterminisme puisque le déterminisme s’oppose à la responsabilité individuelle et à votre principe de liberté. Etant de formation scientifique j’ai du mal à accepter cette forme de pensée qui place en quelque sorte l’homme au dessus des lois physiques. Dans la pensée et les actes d’un homme il y a du déterminisme et le nier devient, plus nos connaissances avancent, une absurdité qui relève d’une croyance métaphysique. Le libre arbitre est votre pierre philosophale pourtant vous ne vous posez pas trop de question à son sujet.
La seule réponse que j’ai obtenue sur ce site quant à la définition de la liberté c’est : la propriété. Ca donne envie de pleurer.
Vous refusez toute idée d’égalité puisque le principe d’égalité est contraire à la vision individualiste du libertarisme. Pourtant la notion d’égalité, ou plus exactement dans sa version restreinte l’égalité des chances, est le fondement d’une société juste et justifiable. L’égalité des chances est pour moi le fondement d’un système politique menant à une civilisation respectueuse de l’individu. Là encore vous refusez l’idée du déterminisme social qui prédestine l’homme ; pour vous le mérite d’une vie vécue n’appartient qu’à l’individu.
Vous refusez toute idée de fraternité puisque vous excluez toute idée de responsabilité collective. En effet comment devrais je me sentir solidaire et développer un élan fraternel puisque ce qu’il advient à l’autre est de son unique responsabilité. Comment se sentir frère de quelqu’un à qui je ne dois rien et qui ne me doit rien ? Quelle est l’éthique libertariene quant à la fraternité ?
Finalement vous n’êtes pas Républicain, pourquoi pas d’ailleurs, simplement l’idéal Républicain est un élan vers une société plus humaine alors que le système que vous défendez ne me semble pas aller dans ce sens. Je ne vois rien de « beau » (liberté) de « bien » (égalité) et de « bon » (fraternité) dans votre système de pensée. Votre désir de liberté est le mien, mais pas à n’importe quel prix.
Vous vous retranchez derrière une main invisible qui chaotiquement nous guiderait. Je n’aime pas cette vision mystique du monde et sans même avoir besoin de la réfuter de façon expérimentale (bien que l’expérience grandeur nature récente montre que la main invisible est tellement invisible que son effet de convergence vers l’équilibre est invisible…) je la réfute par la volonté et l’espoir que l’humanité soit, EN TOUTE CONSCIENCE, un jour maîtresse de son destin.
Cependant, je pense que l’aboutissement de la maturité pour une civilisation c’est effectivement l’anarchie (ou peut être le libertarisme), mais cette organisation (ou plutôt cette absence d’organisation) suppose de la part de chacun un niveau de conscience individuel un niveau de connaissance et une maturité bien supérieurs à ceux que nous pouvons constater aujourd’hui.
Conclusion, vous êtes pour moi (et pour longtemps encore) hors sujet. Sauf à débattre philosophie.
D’autre part et c’est là que je suis principalement déçu, votre doctrine séduit visiblement (à force de lire les proses) une frange de la population qui ne me plait pas trop, disons que l’intervenant sympathisant moyen est plutôt : radical, sur de lui, avec des réponses simplistes, homophobe, peut être raciste, primairement anti-gauchiste, haineux, parano, poujadiste…. Je me fais sans doute des idées mais parfois ça pue l’extrême droite et ça, cela n’a rien à voir avec le libertarisme,… si je ne me trompe ?
Pour finir, je ne suis pas communiste ni socialiste ni trotskiste ni maoïste ni gauchiste ni écologiste ni sarkosiste (ah non ! ça non !) ni quoi que ce soit. Cessez de me coller et de coller des étiquettes qui n’ont pas de sens.
La seule étiquette que je supporte c’est : « anarchiste ou démocrate par défaut ».
Bon, ADIOS ceci est mon testament, El Niño, devant la pression (El Niño aime jouer au martyre), va voir ailleurs si vous n’y êtes pas ;-)
Vous ete po assez claire
wow…
En pleine gueul!!! Hervé!!!
Je serais petit dans mes culottes à ta place. Vraiment je te trouve foutrement inconséquant, tu prône la liberté et tout se que tu trouve à faire c’est de banir El Niño. Franchement décevant.
regarde dans la page Commentaires du site, tu verras que le stalino a publié un tas d’autres commentaires…
La liberté d’expression passe après le droit de propriété. Je n’ai pas le droit de tagger ton mur au nom de la liberté d’expression. Stalnino c’est pareil.
« Oui tu es l’esclave de ton Boss. D’une certaine manière. Parce que intrinsèquement tu as besoin de Fric pour survivre. »
Depuis quand un esclave est-il payé ?
Connerie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
« Tu es libre quand tu n’as pas de besoins. »
Oui ! Allé ! Libére toi ! Arrete de Respirer !
Connerie !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
« Vous refusez tout déterminisme puisque le déterminisme s’oppose à la responsabilité individuelle et à votre principe de liberté. Etant de formation scientifique j’ai du mal à accepter cette forme de pensée qui place en quelque sorte l’homme au dessus des lois physiques. »
Oui mais parce que justement la science physique cherche des Loi déterministes. Que ces loi existent ou pas, leur réalité, n’a pas d’importance pour la science.
Tu es donc victime d’une déformation professionel. ;-)
Savoir qu’un même peuple et une même culture est à l’Origine des Francais et des Indiens, montre assez à quel point il n’y pas de déterminisme chez l’être humain.
Même si bien sur cela se contruit toujours sur un héritage intellectuel.
Par ailleurs je viens de lire un livre qui affirme que l’ADN ne contient pas assez d’information pour coder la construction du cerveau, et que donc les connections des neurones entre elles réléve du pifométrage complet.
C’est à approfondire.
D’ailleurs, si tu veux qu’il y ai du déterminisme, il n’y a pas d’égalité des chances possibles. Les gens sont déterminés à leur naissance, et personne n’y peut rien. Donc l’égalité des chances n’est qu’une illusion, et tout ce que l’on peut tenter dans ce domaine est inutile.
« Pourtant la notion d’égalité, ou plus exactement dans sa version restreinte l’égalité des chances
L’égalité, c’est l’égalité devant le Loi et l’égalité de la Loi (une seul oi pour tous). Rien de plus, rien de moins, et c’est déja beaucoups.
« l’égalité des chances, est le fondement d’une société juste et justifiable. »
Bein alors rétablissont la plus juste des égalités des chances, celle que donne la naissance. Car le lotto ne saurait être injuste, n’est-ce pas ? Et puisque tous le monde participe, et une seul fois, c’est tout à fait égalitaire.
« l’idéal Républicain est un élan vers une société plus humaine »
Tssss.. Soyons sérieux. La République est un systéme de selection des élites, rien de plus. Quand au reste, il se retrouve dans toutes les société historique connue en fonction des valeurs et des moyens de l’époque.
« Vous vous retranchez derrière une main invisible qui chaotiquement nous guiderait.Je n’aime pas cette vision mystique du monde et sans même avoir besoin de la réfuter de façon expérimentale (bien que l’expérience grandeur nature récente montre que la main invisible est tellement invisible que son effet de convergence vers l’équilibre est invisible…) »
?????
Il y a équilibre à chaque transaction. C’est un équilibre instable ou dynamique, c’est ce qui fait sa force.
la sociéte les a fait naitre dans la misère et la pauvrete si elles s’en sorte ainsi,pourquoi ne pas les laissé faire, sans nuire.
Dans l’Antiquité, certaines prosrituées étaient attachées à un culte particulier, à un temple.
La majorité des prostituées étaient des esclaves sexuelles, au sens premier de l’expression: esclaves achetées par un maître et forcées à se prostituer.
Je voulais simplement préciser ce point historique.
La connaissance de l’Histoire ne souffre pas les imprécisions et les simplifications
selon moi les prostituées on le droit et la liberté de vendre leur corp si elle veulent c leur choix comme plus haut 80% des fille le font volontairment alors je voit pas de mal a les legaliser si elle aime mieu vendre leur corp au lieu de se trouver un petit boulau prq c’est plus payant alors cest leur vie et leur corp il feront ce kelle veullen avec c pas a quelqu’un decidé ce quon fera avec notre propre corp je croit ke cest simplement un jugement moral il y a des fille ke sa ne leur derange pas du tout et temp kelle on de largent eu elle sont contente
et dautre ki ne se respecte carrément pas du tout et se fouttre de se kelle font avec leur corp mais je croit aussi ke les maison de prositution serai un bon moyen pour les enlever de leur coin de rue et de notre vu
en tout cas c se ke je pense mais chacun a son opinion sa cetai la mienne
[selon la Police Nationale, 80% des prostituées seraient indépendantes, et seulement 20% auraient un maquereau]
Selon le Sarkome la prostituion a diminué de 40% (et pas 39,3% notez le bien ).
Selon la Mairie de Paris la prostitution n’a en rien diminué mais s’est simplement déplacée en s’adaptant aux nouvelles contraintes réglementaires.
La Mairie s’appuye sur une enquete et un rapport (que je n’ai pas trouvé) qui précise qu’environ 70% des prostitué(e)s seraient « encadrées » par des réseaux ou des maquereaux.
Vous êtes vraiment pathétiques et dénués de cerveau (c’est à vous qu’il faudrait s’attaquer et non aux chercheurs). Une prostituée n’exerce jamais son activité pour le plaisir (contrairement aux salopes). Il y a toujours quelque chose de sous-jacent, mais il est vrai que les libéraux ne vont jamais très loin dans la recherche du pourquoi. Allez sur le terrain, allez voir les assoces qui s’en occupent et vous verrez vraiment ce qu’il en est. Et pour ceux qui disent que c’est un choix, ça n’est jamais un choix. Une étrangère qui vient sur un territoire ne peut exercer un travail en toute légalité, puisqu’elle n’a pas les papiers pour. La seule alternative qu’il lui reste peut être la prostitution. Mais sachez qu’elles ont besoin de vivre comme vous (les libéraux…pfff), et qu’elles ne prennent pas non plus leur pied. C’est plutôt un cauchemard qu’elles vivent.
Enfin voyez un peu qu’on ne peut pas TOUT vendre. Un corps n’a pas de prix, et à partir du moment où quelque’un paye une autre personne contre quelque chose, c’est du marchandage. Les femmes (et hommes) ne sont pas des marchandises. Pensez un peu à l’humiliation qu’elles subissent.
« Une prostituée n’exerce jamais son activité pour le plaisir »
faisons du remplacement pour montrer l’étendue des dégats ;)
Un employé n’exerce jamais son activité pour le plaisir… (et un petit coup de déterminisme sous jacent dans la gueule)
Je vote pour qu’on donne un Niño d’argent à Toi, euh Moi, enfin à l’individu qui a posté à 19h18 !
« Les femmes (et hommes) ne sont pas des marchandises. Pensez un peu à l’humiliation qu’elles subissent. »
Je suis une marchandise intellectuelle ET manuelle et je me vends au plus offrant par le biais d’un contrat entre ma personne physique et une personne morale ou physique…
« faisons du remplacement pour montrer l’étendue des dégats ;) »
Bah vas-y plante une personne de ta famille sur le trottoir, on en reparlera. Tu ne te rends pas compte de la portée de tes paroles. On peut plaisanter avec beaucoup de choses, mais le pire c’est que là tu es sérieux…désolant.
« Un employé n’exerce jamais son activité pour le plaisir… »
Ce ne sont pas des employés mais des esclaves…je pense qu’il y a une énorme différence.
« Je vote pour qu’on donne un Niño d’argent à Toi, euh Moi, enfin à l’individu qui a posté à 19h18 ! »
Merci je suis flatté. Après les Césars et les Victoires de la Musique, j’étais assez jaloux de ne pas avoir, moi aussi, ma récompense ! C’est chose faite. Mon discours « Nique le Medef »
« Je suis une marchandise »
Cool, heureux de le savoir. Mais c’est bizarre…tu parles !!!!!! aaaaarrrrrggggghhhhh un objet qui parle.
Allons allons, un peu de dignité, ce n’est pas parce que, comme les animaux et les objets, tu es dénué de conscience, et que tu as une bite à la place du cerveau, que tu ne peux pas faire partie du genre humain…quoique…
« Bah vas-y plante une personne de ta famille sur le trottoir, on en reparlera. »
c’est bien ce que je disait, le remplacement se référait au remplacement d’un mot par un autre dans une phrase, une citation en l’occurrence…
« Tu ne te rends pas compte de la portée de tes paroles. On peut plaisanter avec beaucoup de choses, mais le pire c’est que là tu es sérieux…désolant. »
et toi tu as des problèmes de compréhension écrite.
« Ce ne sont pas des employés mais des esclaves…je pense qu’il y a une énorme différence. »
lis claire (http://whoops.free.fr), elle en avait parlé.
« Merci je suis flatté. »
tu devrais pas.
« Mon discours « Nique le Medef » »
fais ce que tu veux…
« aaaaarrrrrggggghhhhh un objet qui parle. »
deux oeufs dans un poele à frire :
– putain qu’il fait chaud ici, dit le premier.
– ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, un oeuf qui parle dit le second.
« Toi », tu me fais rire, continue je t’en prie… j’aime vraiment, on dirait du Ruquier.
ouais j’avoue que j’ai un certain sens de la répartie assez comique.
Désolé pour mon « incompréhension écrite » mais le net n’aide pas beaucoup pour ce genre de choses. Il est évident que c’est mieux d’avoir la personne en face de soi (on voit mieux le sens grâce aux mimiques).
moi personnellement je suis contre la prostitution
parce que si une femme a besoin d’argent elle ne devrais pas etre obliger de vendre son corps. Imaginer cette femme qui sort le soir faire de l’argent pendant que ses enfants l’attendre a la maison?? ce n’ai pas degueulasse a votre gout??moi je trouve ca innaceptable qu une mere soit obliger de vendre son corp pour nourrir ses enfants!!!
joanie
bla
On ne peut parler de la prostitution en ne parlant que des prostituées.
L’acte sexuel prostitutionnel se fait à deux, la prostituée et le client prostitueur en sont les deux acteurs.
A chaque fois qu’on envisage la prostitution un restreignant notre considération aux prostituées , nous ne pouvons être que dans l’erreur.
Aussi faudrait-il se demander s’il est plus ou moins immorale de se prostituer que d’utiliser une prostituée.
Il faudrait- se demander si les prostituées disposent de leur libre arbitre au moment où elle se prostituent et si leurs consentement à l’acte sexuel prostitutionnel n’est pas invalide du fait de la prise de drogue ou d’une déficience psychologique momentanée;
Tout autant qu’il faudrait se demander si le client-prostitueur dispose de son libre arbitre lorsqu’il va voir une prostituée et si son consentement à payer en compensation d’un acte sexuel est valide et non pas entaché par la prise de drogue, y compris l’alcool, ou par une déficience psychique momentanée.
Considérer que prostituer son cerveau, ses mains ou son sexe c’est la même chose est une erreur qui consiste à nier la participation du client-prostitueur à l’acte prostitutionnel;
Car lorsque vous prostituez votre cerveau, personne ne se l’accapare ou y pénètre ne fut ce que momentanément et vous avez toujours la possibilité de suivre d’autres pensées en même temps.
Lorsque vous prostituer vos mains,personne ne se les accapare comme des objets pour leur faire faire ce qu’il voudrait faire et personne non plus ne pénètre vos mains ne serait ce que momentanément.
Quand une prostituée prostitue son sexe, elle est pénétrée et le client-prostitueur vient y loger momentanément son pénis;
Donc la prostitution n’est pas une activité professionnelle c’est un contrat visant à l’acquisition par le client-prostitueur d’un droit d’usufruit momentané d’un vagin pour en joui et y jouir à sa guise;
Ce qui implique que la prostituée ne se considère pas comme un être humain capable de penser, mais comme un esprit occupant un corps qu’il lui serait possible de quitter momentanément pour en donner l’usufruit à quelqu’un d’autre.
Ce qui implique également que le client prostitueur considère que la prostituée n’est pas un être humain pensant, mais comme un esprit occupant un corps qu’il lui serait loisible d’en acquérir l’usufruit momentanément.
On voit bien ou se situe la problématique du regard que nous devons poser sur la prostitution.
Sommes nous des être humains pensant? Ou sommes nous des esprits habitant un corps dont nous pourrions momentanément nous absenter.
Nous savons qu’une atteinte physique du cerveau constitue une atteinte à notre mécanisme de pensée, nous savons également que les médicaments influençant la chimie du cerveau, influence notre humeur donc le cours de notre pensée.
Ce qui exclut le fait que nous soyons des esprits habitant un corps, puisque notre cerveau, au même titre que notre coeur, nos poumons ou nos intestins participent à notre fonctionnement et que le cerveau ne pourrait fonctionner si le coeur et les poumons ne l’alimentaient pas en sang et oxygène.
Se croire un esprit habitant un corps est donc une négation de notre essence même.
Les prostituées pour supporter le fait qu’elles doivent se couper sensoriellement de leur propres sensations afin de permettre au client-prostitueur d’user de leur sexe développe un syndrome de décorporalisation étudié par Judith Trinquart qui à terme les rends insensibles, non pas seulement pendant l’acte prostitutionnel, mais en permanence les rendant ainsi insensible au plaisir aussi bien qu’à la douleur.
Ainsi le plaisir et la douleur qui permet de retirer sa main quand on se brûle, ou de mettre sa cheville au repos lorsqu’on se fait une entorse ne leur sont plus accessibles.
Leur propre sexualité devient de ce fait inexistante et l’absence de douleur, fait qu’elles négligent les signaux d’alarme de souffrance et ne se soignent plus.
On voit donc bien que le fait de nier que notre cerveau et notre système de pensée font partie intégrante de nous même, pour permettre de croire que nous serions des esprits habitant des corps, nous rend malades apportant la preuve même que notre croyance est une erreur.
Les questions que nous devons nous poser sont les suivantes ?
Est-il humain de devenir prostituée, Est-il humain de devenir client-prostitueur? le prostitution est-elle humaine? La réponse est non la prostitution est contraire à notre fonctionnement humain!
Mais cette réponse toute de bon sens et par ailleurs évidente ne nécessitait pas une telle démonstration, sauf à prouver qu’à trop réfléchir pour justifier l’injustifiable, on peut se trouver piéger à son propre piège.
peut on louer un apart a un travesti qui se prostitue