Sommet de la Terre

Les déclarations alarmistes se succèdent au sommet de la terre, à propos de la catastrophe écologique annoncée. La question de son intensité (ou de son occurence) importe peu en réalité. Le bon sens nous impose pour notre bien propre (mais aussi en tant que collectivité) de veiller à ne pas trop dégrader notre environnement. Si l’on désire protéger l’environnement, a t’on vraiment besoin d’un grand sommet (par son coût) qui ne débouchera sur rien ou sur des accords inappliqués comme le précédent. Chaque état (puisqu’il s’agit d’un sommet étatique) n’a nullement besoin d’attendre l’accord des autres pour améliorer la situation sur son propre territoire. Assez d’hypocrisie, personne n’avait besoin du sommet de la terre pour prendre des mesures : que ceux qui souhaitent protéger l’environnement fasse les efforts : c’est cela la responsabilité d’un homme libre : assumer ces choix et ne pas les faire porter par les autres.