La propagande étatico-marxiste à l’école n’est plus seulement une dérive, c’est toute l’école qui est en train de devenir une véritable institution d’endoctrinement. Je pense qu’il sera bientôt temps d’en tirer les conclusions qui s’imposent en proposant des solutions, mais en attendant, voici quelques exemples du jour… Histoire: discours du prof: « Bonjour. Aujourd’hui, les enfants du canton de Zurich ont congé. Ils ont congé pour apprendre à tirer.(*) Je voulais juste vous dire que je trouve ça profondément choquant. Apprendre à tuer, je trouve ça inacceptable. Voilà , je voulais juste vous le dire. Maintenant, revenons au cours. »
déclaration du prof: « Ce que font les grandes entreprises ne relève pas que du secteur privé et nous concerne tous. Il DOIT y avoir un contrôle de la population sur ce qu’elles font » (**)
extrait du cours: « Trois processus dominent le nouveau système technique, créant une société caractérisée par l’expropriation des conditions et rythmes de vie de l’écrasante majorité des gens: – la rentabilisation (profit capitaliste) de tous les rapports sociaux et personnels […] Tout cela conflue par la volonté constante qu’a le capitaliste d’accélérer la rotation de son capital […] »
oh j’oubliais: le prof nous a recommandé Attac comme source d’information…
Anglais: Lecture d’un article contre la mondialisation. Nous devons répondre ensuite à des questions toutes innocentes, comme par exemple: « expliquez l’impact négatif de la mondialisation dans les pays du nord »(***).
Rassurez-vous, le sud n’a pas été oublié, avec les statistiques habituelles, famine, etc. Autre question, si la mondialisation est « good » ou « bad ». Outre le ridicule d’une telle vision (****), le point de vue « good » était bien sûr tourné en ridicule: « j’ai parlé avec un banquier qui trouvait que la mondialisation était une bonne chose. C’est stupide de penser des choses pareilles. ».
Pour finir, le prof est parti dans un délire total sur un « gouvernement mondial privé »… * décidément, faut que je démanage dans ce canton moi (Zurich, plus d’un million d’habitants, centre économique de la Suisse…)… le parti le plus libéral de Suisse (UDC Zurich) y fait 38%, et les enfants y apprennent à tirer…
** Swissair, Air France, SNCF, CFF, Bull, Crédit Lyonnais ?
*** le mot impact est utilisé d’une manière incorrecte, le prof confondant les notions de problème, impact, et choix. étaient considérés comme impacts: prisons privées, privatisation des services publics (comme les télécommunications, cette privatisation ignoble qui nous force à payer le téléphone dix fois moins cher ?) , demandeurs d’asile, etc.
**** le prof confondait bien sûr totalement libre-échange et mondialisation actuelle non libérale.. En fait il expliquait clairement que la mondialisation n’était pas libre échangiste, avant de repartir sur une critique du libre-échange… Je vois en tout cas 4 positions différentes au sujet de la mondialisation, mais 4 c’est déjà trop pour la gauche foncièrement manichéene (bien-pas bien, ouvrier-patron, nord-sud, mondialisation pour-contre….):
– mondialisation étatisée et contrôlée nécessitant un Etat mondial socialiste (gauche)
– mondialisation « mercantiliste », c’est à dire protectionnisme et subventionnement chez nous, exportation ailleurs aux meilleures conditions possibles imposées par l’OMC ( situation actuelle)
– mondialisation authentiquement libre-échangiste. ni OMC ni FMI, les pays libéraux suppriment simplement leurs barrières douanières. (libéraux authentiques)
– mondialisation nationaliste protectionniste, ou pas de mondialisation du tout, chaque pays important que ce qu’il ne peut pas produire et taxant tout le reste. (nationalistes)
Je suis étudiant en Belgique et je fais un e licendce en histoire.Ilm est abérant de constater à quel point la vision de l’historien belge moyen a une vision tronquée du libéralisme , vision qu’il taille selon un bien poussiéreux modèle marxiste. Une discussiopn entre deux cours et hop! les passions se déchaînent… les frustration de ces « citoyens » sont décidément exemptes de tout recul ou de toute critique historique .Tout, absolument tous les lieux communs figurent au menu. le traditionnel cheval de Troie du fossé riches-pauvres,l’ « émergence planétaire d’un mouvement citoyen », p)our ne reprendre que la devise d’un homme d’état qui essuie le cuisant échec de sa politique laxiste de la gauche dite « plurielle ». Assurément elle l’est lorsqu’il s’agit de dégager un processus de décision; mais elle ne parle que dune voix lorsqu’il s’agit de fustiger le capitalisme,la xénophobie et la violence d’un peuple américain et dont leur chef est-bien sûr- à la solde des lobbies pétroliers. Une manière toute européenne, sous le joug dé l’élite gauchiste bien-pensante, de passer sous silence l’échec TOTAL de sa politique en matière d’intégration, et qui va à contre-courant de toute logique qui régit une économie saine.
Certes, la vieille europe est gangrénée par le vieux fonds marxiste.Mais il existe une dynamique libérale, qui anime aujourd’hui de jeunes gens motivés- je pense en faire partie-qui n’ont pas peur de prendre le modèle américain en exemple, et qui se veut être une véritable contre-ATTAC libérale.
Ce conge a Zurich pour le tir s’appelle le Knabenschiessen (le tir des garcons). Les ecoliers ont conge ce jour-la, mais aucun garcon n’est oblige de tirer. Cela se fait sur une base volontaire. Les adolescents qui font ceci sont fiers de montrer leur adresse au tir a leur petits copains et aux parents.
Il ne s’agit en aucun cas de tuer qui que ce soit, mais d’un defi et d’une fete populaire dans le canton de Zurich.
Les dispositifs de securite sont tres sur, et il n’y a eu, a ma connaissance jamais eu d’accident.
Le neodirigisme ultra,sauvage et débridé pointe cyniquement son nez de nos jours.Les crétins de Porto Alègre feignent de ne pas voir que les avions qui les ont transporté jusque là ont été créés par le capitalisme libéral; le neodirigisme est l’ami des bureaucrates et des médias qu’ils détiennent.L’éducation nationale est complètement infiltrée par le gauchisme!OR ON NE PEUT ACCUSER UNE GRANDE ET BELLE IMPOSTURE SANS REAGIR.IL FAUT INVESTIR TOTALEMENT LE CRENEAU MEDIATIQUE!QUELQUES IDEES DE MOMS DE JOURNAUX: »LA STATUE DE LA LIBERTE », »RESISTANCE LIBERALE », »AU SECOURS », »LE COQ GAULOIS QUI HURLE », »LE JOURNAL ANTI-ETAT », »LIBERTES ECONOMIQUES », »DYNAMISME ECONOMIQUE »…
Je me souviens de ce que déclarait ma prof d’histoire contemporaine il y a quelques semaines:(en gros) »Les socialistes n’étaient pas forcément pour la République.S’il y avait un « système » de « Justice Sociale »(sic!), de « Redistribution »…etc. D’abord,on avait la stupide impression qu’elle partageait leur opinion de A à Z…Elle ferait bien de faire attention à ce qu’elle dit.Après tout,n’était-ce pas cette meme prof qui lacha un jour: »Je suis très collectiviste,et je suis pour le Partage des Ressourses »?(on s’y croirait!)…Mais enfin,puisque les « Systèmes » ont très très souvent montré leur réussite foudroyante »,les Libertés(ça me fait penser à la coalition de Silvio Berlusconi!)seraient vouées à périr n’est-ce pas?Eh bien,NON.Les Systèmes sont la négation des Libertés.
Héhéhé…Ton prof d’anglais a du etre traumatisé à vie il y a 24 et 23 ans!
Voilà .C’était lundi après-midi.Je devais faire un exposé d’une demi-heure sur le sujet: »la Moscovie en Europe du XVIIème au début du XVIIIème siècle ».J’avais notament préparé la phrase suivante: »On peut en effet comparer le régime de Pierre le Grand au stalinisme en URSS »…
IMMENSE PRECAUTION(j’suis pas fou,vu comme elle est belle,la France actuelle,surtout dans ses universités…): il est question non pas de COMMUNISME mais de STALINISME!!! (pff,s’il faut en arriver là en l’an 2003).Bon…vous admettrez que j’exagère(stalinisme,pff…pauvre France…)! Simplement,je ne tiens pas à voir ma note amputée de 10 points.
Enfin,bon,voilà quoi.
Pour ceux qui douteraient encore du lien de filiation entre tsarisme et bolchevisme:
gmu.edu (Ã faire apparaitre en bleu!)
Arg!les voilà les origines du comm…STALINISME!!!(ouf j’ai évité le goulag…)
Attendez!!Ce n’est pas terminé.
Nous voici donc en classe…
« La société dans laquelle vivent les Moscovites devient une société de + en plus soumise à l’autorité du tsar.On peut en effet comparer le régime de Pierre le Grand au STALINISME en URSS. »(une élève dans la classe: »rrrrrrrr… »)
A la fin de l’exposé,le prof demande aux élèves s’ils ont des questions(on ne sait jamais).
-« OUI A PROPOS DE LA COMPARAISON AVEC LE STALINISME?! » (l’élève en question)
-(bon,j’improvise) »Oui…j’ai trouvé ça dans un livre,le livre… »(et je sors un titre de ma bibliographie)
Je ne tiens pas à voir ma note amputée de X points.
(pas terminé)
P’tite phrase rigolote du prof en question: »COMPARAISON N’EST PAS RAISON… »
C’est vrai que les professeurs sont loin de respecter la neutralité politique. Ils présentent souvent leurs opinions, du surcroît bien contestables parfois, comme une vérité scientifique digne d’être enseignée.
1er exemple.
En première ES, le professeur d’économie nous proposa d’abonner la classe à un journal d’économie pour nous apprendre à faire des synthèses d’articles. Très bien. Sauf que le choix du magazine allait être orienté: il choisit Alternatives économiques. Inutile de dire que pour nous, novices en la matière, c’était la vérité. D’autant que le professeur ne se livrait à aucun travail critique. « Avec M. B. au moins, tu étais au point sur l’économie marxiste » me dit récemment un ami. Heureusement, mon prof d’éco de Terminale fut excellent et me permit de comprendre: « la révolution industrielle fut possible par la libération sociale des forces de production » disait-il, traduction: le développement vint du libéralisme (à méditer pour le Tiers-Monde).
2ème exemple.
Terminale, le prof d’Histoire géo va commencer le chapitre sur les Etats-Unis. Elle prévient: pas d’abréviation en EU. On lui demande si on peut écrire USA (plus long que EU mais plus court qu’Etats-Unis). Aïe:
– Non et non!!!
– Mais pourquoi?
– Parce que Yunitède Staite ôf América, NON!!!
On en resta là . Elle aurait pu dire qu’en France on parle français et qu’il faut donner le nom français des pays, comme pour l’Italie ou l’Allemagne, etc. Non: seul raison, sa détestation des Etats-Unis (en en jouant, j’ai même eu une bonne note à la disserte à faire à la maison, avec plein de « bien » en marge). Le pire, c’est qu’elle nous dit qu’écrire USA pouvait fort bien indisposer un correcteur le jour du BAc. Parce qu’il faut écrire français ou parce que le correcteur peut-être anti-américain…? Elle ne nous en a rien dit. Les deux peut-être…
Je suis certifié d’Hist-géo et je prépare l’agrégation d’Histoire. Je n’ai pas cette mentalité: comment vais-je faire pour éviter les ennuis
[…] Mais ce ne serait encore rien si les barbares sans foi ni loi qui dépensent les impôts avaient la moindre pudeur, le moindre respect pour leurs victimes et la petite marge de manoeuvre que les richesses qui leur restent après (c’est un après symbolique, car l’attaque est permanente) la razzia fiscale semblent leur laisser. Non, pour eux, rien trop obscène dans le degré d’asservissement et il ne leur vient aucun remord lorsqu’ils enseignent dans leurs écoles que tout cela est juste est bon, lorsqu’ils apprennent aux gamins qu’être original en brassant de l’air ou en jouant au saltimbanque, c’est très bien, et que “l’esprit critique†consiste à ce que tout le monde critique la même chose en même temps. Ils leur apprennent aussi le vocabulaire servant à désigner celui qui a un esprit critique différent de tous ses petits camarades : un “fachoâ€. C’est pas mal, ça, l’école, comme principale source d’appauvrissement (ou de détournement) du vocabulaire et d’abrutissement intellectuel. D’ailleurs, comme il y en a qui continuent quand même à penser comme ils veulent après tout ça (c’est dire la volonté de vivre que les esprit libres doivent avoir pour survivre dans un milieu aussi hostile à l’intelligence, la paix et la créativité!), ils ont désormais l’idée géniale : abaisser l’âge du début de l’école afin de diminuer l’éventuelle influence d’éléments, disons insensibles, à la bonne parole du régime. Depuis tout petit, donc, les gens sont brimés, dénaturés. On leur dit que critiquer les politiciens, c’est être libre pourvu que la critique aille dans le bon sens. Après, ils sortent de là en sachant plus ou moins lire et écrire, et surtout en sachant que la majorité a toujours raison et que c’est être “facho†que de contester les lois de la majorité. Les voilà fins prêts à accepter les contrôles d’identité quitte à être marqués comme du bétail par des puces électroniques, la prohibition des armes, le flicage sur intenet, l‘intrusion horrifiante de l’état dans la sphère familiale, ainsi que toutes les autres humiliations que nous connaissons, chaque jour ajoutant son lot de servitude et d’insulte à la dignité humaine, qu’aucun régime historique, faute de moyens de propagande et de contrôle technique n’a pu pratiquer avant nos social-démocraties. […]