Les nouvelles mesures de Sarkozy font de la France un état policier, renforcant le pouvoir arbitraire des policiers et réduisant les libertés individuelles. Il est toujours amusant de voir comme les différents gouvernements s’empressent de se copier les uns les autres pour tout ce qui relève de mesures absurdes, mais étrangement ne font pas de même pour tout ce qui est positif. Ainsi, le gouvernement suisse ne rêve que de plagier Raffarin sur son programme pour la sécurité routière, alors qu’en Suisse le nombre d’accidents de la route est bien moindre qu’en France et est en constante diminution.
Par contre, étrangement, des gens aussi « ouverts d’esprit » que Robert Badinter, décidement toujours aussi prétentieux, se donnent le droit de rédiger des constitutions européennes, pour lesquelles le moins que l’on puisse dire, pour reprendre le langage de la gauche, c’est qu’elles ne sont pas très « innovatrices ». Ainsi, ce cher Badinter reprend exactement les mêmes principes anti-démocratiques qui montrent jour après jours leur inefficacité – un président aux pouvoirs non clairement définis, d’ailleurs même pas élu par la population, un premier ministre au pouvoir bien trop important, une vague représentation des Etats, sous forme de représentants apparamment même pas élus, un éxécutif non-représentatif de la population… Et tout cela prétendant garantir la « souveraineté du peuple européen »…
Alors que la Suisse a une longue tradition de fédéralisme démocratique, dont il suffirait de s’inspirer. A moins que monsieur Badinter soit nationaliste au point de refuser un système politique simplement parce qu’il n’est pas issu de la grande France ? Ou tout simplement arrogant au point de le refuser parce qu’il n’est pas issu de lui ?
Mais c’est au sujet de l’insécurité que la comparaison entre les politiciens de ces deux pays devient vraiment intéressante. Dans les deux cas, on a une droite qui propose depuis longtemps des mesures plus ou moins discutables pour renforcer la sécurité, et une gauche qui fait la politique de l’autruche. Tout comme la gauche française, la gauche suisse s’empressait de hurler au scandale face à ces mesures, jusqu’au moment où, assez brutalement, elle a changé radicalement d’avis pour proposer des mesures encore plus sécuritaires, électoralisme oblige. Clamant bien sûr que, elle, c’était pas pareil. J’avais fait alors le commentaire suivant:
Ainsi donc, il y aurait d’un côté une manière « gentille » de mettre des flics partout, des flics gentils, des flics de gauche, ouverts, sympathiques, tolérants, et de l’autre, il y aurait la « dérive sécuritaire fascisante », celle de céder à la « tentation » nauséabonde de l’état policier, en mettant de « méchants » flics partout, de droite (ouille) renfermés sur eux-mêmes et ne rêvant que de flinguer de l’immigré, de gros nazis mal rasés en somme…
En somme, comme d’habitude, quand c’est le PS qui propose des mesures répressives voire discriminatoires, c’est normal, c’est bien, c’est gentil, c’est in, c’est de gauche, mais quand c’est la droite qui propose exactement la même chose, c’est de droite, donc c’est mal.
Visiblement, ce commentaire est tout aussi valide pour la France, si ce n’est que la France est un pays de gauche, tout de même, et où donc ce n’est pas la gauche qui a fait ledit retournement de veste, mais la « droite » (j’ai tout de même un peu de peine à qualifier ainsi des gens qui reprennent le programme d’Attac, mais enfin, admettons).
Comprenez donc mon amusement de voir Le Monde nous pondre un joli édito intitulé « Libertés menacées » (depuis quand Le Monde défend-t-il la liberté ?), avec, juste en dessous, suggérant subtilement un lien entre les deux, « LA DROITE » (oui, en majuscules). Vous ne le saviez donc pas, que seule la droite peut menacer les libertés ? Vous avez déjà oublié ces merveilleuses années de liberté sous Jospin ?
En résumé, les nouvelles mesures de Sarkozy font de la France un état policier, renforcant le pouvoir arbitraire des policiers et réduisant les libertés individuelles. Il serait tentant de dire que « ils sont allés trop loin, mais au moins on sera en sécurité », mais personnellement je doute que toutes ces mesures aient un quelconque effet sur la criminalité. La structure étatico-juridique est ainsi faite que les policiers rechigneront toujours ‘ aller dans les quartiers dangereux, se feront toujours corrompre, et seront toujours tentés d’abuser le leurs pouvoirs. Après tout, ils ont un chef qui leur donne le bon exemple: Jacques Chirac, lequel respecte toutes ses promesses électorales, est un exemple d’honnétêté et de compétence, et a un parcours irréprochable sans le moindre crime ou délit ! (nonon, je ne suis pas ironique du tout… ironiser sur Chirac, moi ? quelle idée…)
Plus en détails, dixit le Monde: Les pouvoirs de la police sont considérablement étendus, notamment en matière de garde à vue, le fichage génétique des suspects est autorisé, les possibilités de perquisitions et d’écoutes téléphoniques sont multipliées et de nouvelles infractions sont créées, pénalisant la mendicité ou la prostitution (…) Le « droit au silence » en garde à vue serait supprimé. (…) Le projet du gouvernement étend d’ailleurs les possibilités de perquisitions la nuit ou sans le consentement de la personne, ainsi que la mise sur écoutes téléphoniques, qui ne sont aujourd’hui autorisées que dans le cadre d’une instruction.
Le but des mesures répressive ? Selon le ministère de l’intérieur: « permettre à la police et à la gendarmerie de travailler. » Tiens, la police va se mettre à travailler ? Voilà qui est intéressant, c’est presque à se demander ce qu’ils faisaient jusque-là , notamment pendant la période où Chirac était déjà au pouvoir… (il me semblait bien que la police ne devait pas beaucoup travailler quand la criminalité augmentait de 20 %, à l’époque pourtant où Chirac devait bien travailler puisqu’il n’avait pas encore l’excuse de la cohabitation…)
Pour finir, le délire total: 2 000 euros d’amende pour absentéisme scolaire ! Le but ? Selon Sarkozy: « prévenir la délinquance des mineurs ». Donc, les gosses sont des criminels, et c’est en les mettant dans des classes – où ils ne perturberont certainement pas le bon déroulement du cours – qu’il faut les empêcher de commetre des crimes ? Quelle vision humaniste de notre jeunesse !
Il est à relever que là aussi une comparaison avec la Suisse s’impose, puisque depuis cette année, du moins à Genève, l’absentéisme au collège (lycée) est punissable d’un refus de délivrer la matu (le bac), la décision appartenant bien entendu au Herr Direktor, et le tout étant bien sûr fait uniquement « pour notre bien ». (sic) Le plus inquiétant, c’est que selon les dires-mêmes du prof qui justifiait ces mesures absurdes par l’éternelle rengaine « c’est pour votre bien », les élèves qui séchaient les cours étaient bien souvent les mêmes que ceux qui étaient en échec, ce qui démontre parfaitement bien l’auto-régulation du système. Mais pour ces braves gens tellement préoccupés par notre bien, c’est une justification de plus pour restreindre nos libertés. Allez comprendre.
L’insécurité est un problème grave, il serait naif de le nier. Mais il serait encore plus naif de croire que la même institution qui l’a engendrée, l’Etat, puisse désormais le résoudre, la naiveté atteignant son paroxysme dans un pays comme la France ou le pouvoir est resté dans les mêmes mains (la main gauche et la main droite) depuis des décennies.
Posons une théorie très politiquement incorrect : il y a un lien entre immigration et délinquance.
D’ou des questions, nos Enarques du PS n’étant pas des crétins complets. Pourquoi 1) ont ils laissé entrer en France autant d’immigrés, sachant parfaitement qu’ils seraient incapable de s’adapter, du fait des trop grande disparité culturel, à une société en pleine mutation économique ? 2)N’ont ils pas lutter avec fermeté contre les délinquants, au point d’abandonner des quartier entier à des Mafias, ou à des Islamistes ?
Idéologie ? Ce pourrait être une explication si nous avions a faire à des militants de base du PSF. Mais soyons un peu sérieux.
L’Etat est par définition un appareil de répression et de coercition. S’il n’agit pas dans son domaine de prédilection, c’est qu’il le veut bien.
Si les Socialistes on laissé entrer autant d’immigrés, c’était évidement pour être certain d’avoir à terme un réservoir électoral en grande difficulté économique, justifiant au yeux de l’opinion public l’intervention étatique. Bref, un électorat captif. Donc, il n’était pas question de trop faire pour l’intégrer.
Deuxièmement, avec la délinquance, les socialistes faisaient coup double. Celui ci « prouve » que le libéralisme ne fonctionne pas. Et l’impunité exaspère les indigènes, qui, traités de racistes ou de psychotiques (le fameux « Sentiment d’insécurité ») finissent par voter extrémistes. Bref, cela coupé l’adversaire, la droite.
On dira que nous n’avons pas de preuve pour étayer cette thèse. Nous n’en auront probablement jamais.
Mais remarquons que la lutte contre la délinquance n’a jamais été une préoccupation de Gauche, hormis dans quelques discours, d’ailleurs si rares qu’ils doivent déjà être dans les livres d’histoires de nos enfants.
Et que l’ on connaît le goût des socialiste pour faire des déclarations provocatrice avant les élections sur le « droit de vote des immigrés ».
Faits troubles… sauf si
« Et que l’ on connaît le goût des socialiste pour faire des déclarations provocatrice avant les élections sur le « droit de vote des immigrés ». » (sic)
Il semblerait cette fois-ci, que la fausse droite socialo-chiraquienne tente de couper l’herbe sous le pied des socialo-communistes.
Après l’immobilisme, la frilosité, l’aveu télévisuel de faire tout sauf une politique de droite, sur le plan économique comme sur le reste, voici venu le temps des « humanismes » gauchisants.
Je suis peut être naïf, mais il me semble que leur initiative est suicidaire. Un raisonnement simpliste dirait que 1) les « étrangers » voteraient clairement à gauche 2) l’électorat humanitaro-gauchiste du PS, ou de ses amis, ne voterait évidemment pas (par séduction) pour cette fausse droite sociétalement gauchisée 3) l’électorat de la droite molle commencerait à se poser des questions et fuirait en grande partie vers la droite nationale.
Le camarade communiste aux 82% a donc décidé, porté par le fameux « esprit de mai » (aussi ridicule que le Front Populaire), de rompre avec le socialo-chiraquisme honteux, en faisant ouvertement tomber le masque, pour ceux qui en doutaient encore.
Il est néanmoins drôle de voir que la Gauche voit ses (faux)adversaires siamois réaliser leur promesse.
Le « droit de vote des étrangers » n’est pour l’instant qu’une « idée » de la fausse droite, idée qui d’ailleurs me fait vomir, mais le simple fait qu’ils aient décidé, de la mettre sur le devant de la scène, est très parlant. Un premier signe fut visible le soir du 5 mai, lors de l’élection bolchevique du camarade Elyséen, où drapeaux tunisiens et marocains flottaient place de la République pour sacrer leur Empereur, occultant les deux ou trois drapeaux tricolores présents.
Décidément, il est d’actualité de citer le célebre « Chirac, pire que Jospin ».
Il ne faut pas oublier…
C’est le peuple lui même qui a mis toutes ce personnes au
pouvoir ( si si, un peu quand même !)
Ceci dit, le choix était grand !! un Voleur ou un nazi.
un nazi dites-vous ?
Ah oui pardon … c’est le message qui était matraqué pendant la campagne soviétique de l’entre-deux-tours.
Que l’on soit lepeniste ou pas, n’est pas la question. Avec un peu de lucidité, on a pu constater qu’une certaine caste de privilégiés a tremblé et a tout fait pour conserver le pouvoir.
Le Pen, c’était la fin de cet « établissement ». C’était la fin du système socialo-chiraquien. La fin d’un règne d’autistes peu scrupuleux qui ne sont décidés en rien à faire bouger les choses. Une purge assurée dans tous les milieux qui imposent peu ou prou l’idéologie gauchiste qui gouverne le pays. La fin du monde pour tout ces gens ! « Artistes » humanitaro-privilégiés, enseignants marxistes (pléonasme), fonctionnaires « en tout genre » (pour rester correct), assistés et dépendants du système, politiciens mouillés dans les « magouilles », trotskistes (ça englobe du monde, je sais :), francs-maçons, lobbies divers vivant au crochet de ceux qu’ils font élire, etc. Même les syndicats ont pris position, l’Eglise et … le MEDEF, tant la pression était grande.
Pour résumer, c’est aux « nantis » d’un système complètement intouchable, que la présence de Le Pen osait remettre en question, ne serait-ce que quelques jours. Cela était déjà suffisant pour déchaîner tous les abus totalitaires et anti-démocratiques, en passant par l’endoctrinement de la jeunesse, inculte d’ailleurs. Comme au bon vieux temps de Mao. Mais tout cela, au mépris du « peuple », de ces « salauds » qui ont osé ne pas voter pour les acteurs d’une farce politique, en place depuis des décennies.
Réaction éminemment logique de la part de tout l’établissement pour sauver sa peau, en avancant fièrement le pretexte de « lutte pour la démocratie » et « les droits de l’homme », « contre le racisme » et le fascisme ». Et les moutons de suivre dans la rue, en pensant endosser des habits de pseudo-résistants.
Le Pen a eu l’avantage de faire tomber les masques et de mettre en évidence le caractère totalitaire et bloqué d’un pays complètement et définitivement rongé par le marxisme.
Et six mois après ? Un gouvernement prétendu de droite, qui fait une politique de gauche. Une fausse droite immobiliste, libérale-humaniste (quel sketch), immigrationiste, tétanisée par les agitateurs de rue.
Rupture avec le socialo-communisme ? A coup sur, on est passé avec les chiraquiens, au stade de la sociale-démocratie … Pauvre France ! regarde qui te dirige !
[A propos du FN, il est à noter que les chiraquiens tremblent de plus en plus devant le « risque Le Pen » pour 2004. Ce dernier pourrait bien remporter la présidence de la région PACA. Le gouvernement avoue à haute voix et ne cache absolument pas sa volonté de réformer le mode de scrutin pour empêcher ce risque de devenir réalité … vive la démocratie.]
Je trouve assez revelateur,camarades libertariens,que vous n’envoyez pas une réponse convaincante et définitive à laisser sur le carreau à ce pertinent défenseur des lepènistes,comme vous avez l’habitude de le faire pour ces condamnés d’avance de socialo-marxistes démagogues,simplistes,paresseux et idiots.Bien à vous.
si je n’ai pas écrit une réponse à rivarol, c’est qu’il n’y en a pas besoin. Je partage son analyse à 100%, je n’ai pas honte de le dire. Beaucoup de mes articles reprennent les mêmes thèses, je ne m’en suis jamais caché! Comment, j’ose être d’accord avec un lepéniste???? Vite, appelez la police de la pensée!
ps: tu as bien choisi ton pseudo.
Premièrement, une question. Doit-on être lepeniste pour être d’accord, pas forcément à 100% d’ailleurs, avec ce que j’ai écrit ?
La réponse est non. Mais il faut prendre en compte le fait que vous êtes un « gros con de gauche ».
Autre question: socialo-communistes et socialo-chiraquiens seraient-ils siamois ?
Ma foi sur le fond oui, et vous nous le confirmez.
Je suis taxé de « lepeniste ». Je note que je suis de fait immédiatement repoussé dans les abîmes profondes du coté des « méchants ».
Je vais répondre à cette terrible insulte !
Je trouve beaucoup de choses bonnes chez Le Pen (et oui), mais tout ne me satisfait pas, loin de là .
Je trouve aussi beaucoup de choses bonnes chez Hervé Duray et ses amis, même si je diverge fortement sur certains points.
Plus simplement, je ne me reconnais nulle part. J’ouvre les yeux et je me fais des idées. C’est con hein, mais je n’ai pas besoin de m’identifier à x ou y et à leurs programmes pour penser.
Alors qu’un « gros con de gauche » s’indigne (généralement ledit gros con de gauche a peu d’arguments à part ses indignations) j’avoue que ça me fait sourire.
Encore une chose, ce site me paraît relativement libre, il a l’avantage de ne pas se résumer à de la pignolade entre « copains » qui se lanceraient des « je suis d’accord, c’est génial ». Et je pense d’ailleurs que même les plus gros cons de gauche qui puissent exister (et Dieu sait qu’ils prolifèrent de façon inquiétante) peuvent s’y exprimer. Le problème étant que, l’argumentation manque souvent au gros con de gauche dont les procédés consistent en des accusations de type « lui est lepeniste », « lui est ultra-libéral » et « ils ont tort, ce sont des gros cons libéraux et/ou lepenistes », « moi je suis de gauche et je suis une victime, mais de toute façon j’ai raison, à quoi bon discuter avec ces gros cons ». (votre pseudo m’a beaucoup inspiré)
Alors Monsieur le « gros con de gauche », c’est un peu léger.
Ce que j’aime sur internet, c’est la nullité de l’influence du « politiquement correct », et on voit bien que ça pose des problèmes à certains.
Certes,il n’est pas vrai que les thèses des libertariens soient à rapprocher de celles des lepènistes,mais pourquoi trouve-t-ils tant d’energie et meme tant de tendresse pour défendre ceux qui se font effectivement les défenseurs des lepènistes et tant de fureur contre ceux qui se permettent de les combattre?C’est cette simple question que je poserai.Quand la logique ne fonctionne plus que pour l’autodéfense,elle devient folle.PS:quand à vous mr de Rivarol,n’inversez pas les roles,ce n’est pas moi l’avocat du totalitarisme.Moi,je n’ai jamais dit que les goulags ou les chambres à gaz étaient des détails de l’histoire,ni que le « parti nazi n’etait pas d’extreme droite. »
décidément, les gauchos à court d’argument continuent: « vous êtes d’accord avec quelqu’un qu’on soupçonne d’être d’accord avec Le Pen qui lui même est soupçonné d’être un GROS NAZI donc vous êtes vous-mêmes des GROS NAZIS ».
Revenez avec des arguments messieurs les policiers de la pensée!!!
A propos de Rivarol, il n’a JAMAIS dit quoique ce soit sur les goulags ou les chambres à gaz ou sur le parti nazi, qui d’ailleurs n’était PAS de droite (Parti National Socialiste des Travailleurs, c’est de droite ???)
Arrêtez de faire vos amalgames que vous dénoncez d’ailleurs sans cesse et revenez avec des ARGUMENTS!!!
ps: dernier commentaire de ce genre autorisé, les autres iront à la poubelle.
Le goulag un détail ? Mais vous êtes fou ! Je ne m’appelle pas Georges Marchais !
Renseignez vous un peu avant de dire des âneries.
Quand au parti « nazi » dont vous nous parlez, contraction du parti national-socialiste, il n’était pas un parti de droite ni d’extrême droite.
C’était un régime de gauche radicale et nationaliste d’inspiration socialiste, ne vous en déplaise.
Je n’ai pas compris l’expression « avocat du totalitarisme », mais ce n’est pas grave, encore une accusation sans le moindre arguments.
Pour terminer, je vais citer vos amis bienfaiteurs de l’humanité.
« Le bilan global de ces soixante et un ans est positif ». « Le goulag ? A supposer qu’il existe… » (Georges Marchais)
« Il est dérisoire et grotesque de réduire le bilan du communisme à cette compatibilité macabre (du livre noir) » (Robert Hue)
« Le règne sanglant de Staline ne représente qu’une parenthèse historique » (André Lajoinie)
« 85 millions de morts à cause du communisme, c’est un terrible mensonge. J’ai toujours considéré que Staline était un grand homme, un véritable combattant, quelqu’un de raisonnable. » (Jeannette Thorez (Janvier 1997, Le Figaro))
espece de fils de pute
le coup socialiste des travailleurs c des conneries c de la récupération ce nes kune couverture
combien de partis africain se disen democratiques alors quils sont parti unique d une dictatur sanguinaire
Oui les nazis étaient de gauche, ça chagrine tes convictions ?
Ils étaient pour la mise en coupe réglée de la société par l’Etat, avec école-caserne pour les enfants, propagande permanente radio-journaux, les lois liberticides, racistes, spoliatrices.
Je ne vois là que des idéaux de gauche, enfin, dans la mesure ou je peux avoir une vision sur un axe « gauche droite ».
Les libéraux se placent sur un double axe liberté individuelle/liberté économique.
Les gauchistes sont plutôt pour les libertés individuelles, et contre les libertés économiques. Les conservateurs sont plutôt pour les libertés économiques et contre les libertés individuelles. Les libéraux sont pour les deux libertés: individuelle et économique, on ne pense pas pouvoir séparer l’une de l’autre.
Les totalitaires, comme les nazis ou les communistes, ne veulent d’aucune liberté: ni économique ni individuelle. Les classer de « gauche » n’a plus alors grand sens. Mais parce que certains souhaitent assimiler les libéraux à des nazis (mais si…), alors il faut rappeler sans cesse cette réalité: les libéraux sont à l’opposé des totalitaires de tout ordre: rouge, vert, brun. On ne juge pas selon la classe, la race ou la religion.
Prochain commentaire avec des insultes, je l’efface.
Les ouvriers et les fonctionnaires sont bien trop dorlotés,la preuve c’est marqué dans l’archipel du goulag.
Le Pen a dit: »Monsieur Durafour et Dumoulin » puis « Monsieur Durafour-crématoire ».
« Les chambres à gaz sont un point de détail de l’histoire de la Deuxième guerre mondiale. »
Et toujours à propos des chambres à gaz: »Voulez-vous me dire que c’est une vérité révélée,à laquelle tout le monde doit croire,que c’est une obligation morale? »
Et puis il a dit que le parti nazi n’etait pas d’extreme droite,mais Jean Marie a declaré aussi qu’il était personnellement « socialement à gauche ».Des membres du FN ont dit que leur parti n’était pas d’extreme droite, »ni de droite ni de gauche »…Si bien qu’au final,on n’y comprend plus rien.C’est une bonne tactique.Mais bon c’est pas grave.Plutot le front national que le front populaire,pas vrai Rivarol?
Faut bien empecher ce peuple de veaux de devenir « gaucho ».
Salutations.
Nathan, je ne comprends pas ton message, en tout cas pas entièrement.
Sur Le Pen: effectivement il n’est pas de droite. Son programme est comme ton message, une bouillie. Il veut en tout cas un Etat fort, dans tous les domaines: santé, transports, culture, finance, défense, police, travail….
Moi j’appelle ça être de « gauche ».
Ils se disent ni droite ni gauche ? la belle affaire, ils ont raison: si comme les libéraux ils utilisent un diagramme à deux dimensions pour se positionner sur un échiquier politique, liberté politique et liberté économique, alors effectivement ils ne sont plus ni de droit ni de gauche, ils sont totalitaires. Pas de liberté économique, pas de liberté politique. Les socialistes sont plus mesurés: un peu de liberté politique, esclavagisme économique…
Enfin bref, on s’en fout, mais arrête de traiter Rivarol de sale lepéniste etc. Il n’a à aucun endroit déclaré de sympathie pour Le Pen, et s’il tenait un discours déplacé, ses posts ne seraient pas affichés. En attendant il a plus sa place ici que toi à mon goût…
Je constate que la liberté d’expression de Mr Rivarol n’était pas menacée. En outre, le « gros con de gauche » et Nathan ne l’ont jamais traité de lepèniste.
Il l’ont juste catalogué de « défenseur des lepènistes » (de manière assez ironique et vulgaire, il faut le reconnaitre).
On ne peut tout de meme pas exorciser les faits en tenant pour nuls des témoignages interessants ou en discréditant sur un point de détail l’ensemble d’une demonstration.
Salutations distinguées.
j’en ai MARRE de voir toujours revenir « Le Pen » dans toute discussion. Les gauchistes n’ont que ce mot à la bouche dès qu’ils n’ont plus d’arguments: « LE PEN LE PEN LE PEN » crient-ils comme d’autres crieraient « AU LOUP » ou « LE DIABLE »!
Par pitié, arrêtez de nous accabler avec Le Pen, et passez à autre chose!
Et bien moi je suis de gauche, non pas parcequ’on m’a inculqué ces valeurs, mais parcequ’en ayant réfléchi sur tous les partis cela me semble être le plus convenable. Et je ne parle quasiment jamais de Lepen, pour la simple et bonne raison que j’estime ne pas le connaître assez pour en parler, même si le peu que je connaîs de lui me déplais fortement.
Il est bien rare que je sois d’accord avec la droite, mais je sais reconnaître ce qui est dit de façon réflechie : la phrase « Les nazis sont de gauche » ne m’a absolument pas choqué, car j’avais déjà fait ce constat par moi-même au paravent.
En effet, dans leur nom « national socialiste », il n’apparaît pas le mot « libéral ». Et on ne peut pas considérer que « national » veut dire « droite ». Il semblerait même que ça soit une erreur de placer Lepen sur la même branche que Chirac (donc à droite), car je ne vois vraiment pas en quoi le front nationnal équivaut à l’UMP poussé à l’extrème.
D’autre part, ce n’est pas seulement par le nom que le parti nazi peut être perçu « de gauche », ça serait vraiment léger, mais aussi par la politique menée. Car Hitler donnait des discours socialistes, diminution du chomage etc… (naturellement, la plupart des politiques disent ça, mais la droite libérale insiste plus sur l’entreprise et sa situation que sur la condition des travailleurs).
Pour ce qui en est du reste, comme par exemple le génocide des Juifs, ce n’est evidemment pas à gauche, mais ça n’est pas non plus de droite.
Ainsi, je dis être de gauche, et je dis aussi que le nazisme était de gauche… Alors est-ce que je me sens Nazi ?
Non, evidemment. C’est toujours la question de dimensions politiques, j’adhère entièrement à ce que j’ai pu lire précedemment sur le fait que le classement gauche-droite actuel est absurde.
Il existe la branche : « Social/Libéral », la branche « National/Mondial » puis celle de la « Dictature/Démocratie ».
Chacun d’entre nous fait un choix indépendant dans ces différentes dimensions, qui sont donc au nombre de trois, et qu’on ne peut pas regrouper en une seule « Gauche/Droite » sans risquer de provoquer des confusions et du grand n’importe quoi.
Ceci dit, ça reste mon opinion personelle, peut être n’ai-je pas raison, je suis moi aussi un « con de gauche »… en repensant malheureusement à ce que j’ai pu lire, navré par l’incapacité des personnes à considérer les autres un minimum.