Dans un article publié le 21 juillet 2003 dans le Figaro, Yann LE GALES
déclarait que le Ministre des Affaires Sociales, Monsieur François
Fillon, « a entrouvert hier la porte à une éventuelle augmentation
de la CSG afin de financer le régime très déficitaire [de la Sécurité
Sociale]« .
C’est un véritable scandale pour les raisons expliquées ci-dessous dans
le message destiné à votre député.
Si vous êtes contre l’augmentation de la CSG pour financer le déficit
de la Sécurité Sociale engendré par des décennies de mauvaise gestion
et de gabegie, et si vous êtes favorables à une vraie réforme de
celle-ci, impliquant une privatisation totale ou partielle de la
Sécurité Sociale, afin de responsabiliser les Français dans leur
sur-consommation de médicaments et de santé aux frais des
contribuables, faites circuler ce message à autant d’internautes que
possible et conseillez-leur de le faire parvenir à leur député (liste :
Madame ou Monsieur le Député,
Dans un article publié le 21 juillet 2003 dans le Figaro, Yann LE GALES
déclarait que le Ministre des Affaires Sociales, Monsieur François
Fillon, « a entrouvert hier la porte à une éventuelle augmentation
de la CSG afin de financer le régime très déficitaire [de la Sécurité
Sociale]« .
Permettez-moi de vous dire à quel point je trouve cela scandaleux.
Premièrement, la Sécurité Sociale ayant perdu son monopole au niveau
européen en 1994 (cf.
reichmanconfirmabrogmonopolsecu.htm
imposer à ses citoyens de financer un régime de santé national alors
que tous les régimes de santé européens sont soumis à la concurrence.
Deuxièmement, si Monsieur Fillon et les autres membres du gouvernement
désirent résorber le déficit de la Sécurité Sociale, qu’il commencent
par tailler dans les dépenses au lieu de faire payer une fois de plus
des années de gestion irresponsable du système de santé sans aucun
soucis du coût aux contribuables.
Veuillez agréer, Madame ou Monsieur le Député, l’expression de mes
salutations distinguées,
(Nom Prénom)
Message posté sur la liste des libertariens par Prégentil
j’ai lu votre article et je suis totalement contre de ce qui est écrit, car actuellement se sont les médecins qui sont fautif ainsi que les chirurgiens des hopitaux et autres qui opèrent des patients alors que ce n’est pas nécessaire, quant aux médecins un exemple( je suis diabètique et mon médecin me prescrit des médicaments pour un mois, il ne veut en aucun cas me les prescrire pour 3 mois,ce qui qui lui ferai 2 consultations en moins.Certains médicaments qui soit disant soulagerai ou empêcherai l’infection du HIV devrai être proscrit ainsi d’ailleurs que certains médicaments pour le diabète et d’autres maladies.Evidemment tout le monde ou persque laisse faire pour une histoire de gros sous.Ceci dit les mutuelles vont sauté sur l’aubaine et c’est pour cette raison et d’autres que je suis contre.Arrêté de dire que sont les patients qui coutent chère à la sécurité sociale
Je ne vois pas en quoi le message posté par Claire accuse particulièrement les patients d’être à l’origine du déficit.
Je crois deviner (étant donné le flou de l’accusation je me vois contraint aux devinettes) que la phrase incriminée est celle-ci :
« (…)afin de responsabiliser les Français dans leur
sur-consommation de médicaments et de santé aux frais des
contribuables(…) »
1. La surconsommation est un fait statistique. On ne peut le remettre en cause sauf à invoquer une nature biologique spéciale des « Français ».
2. Les coupables peuvent être diversement identifiés : patients hypocondriaques, médecins véreux ou complaisants, politiciens démagogues, ministres incompétents, industriels pharmaceutiques (comme les boites du patron de droit divin de lutte ouvrière)…
3. Les « Français » désignent tout aussi bien les patients que les médecins.
4. Dans ce cas comme dans les autres, il est injuste de faire payer des gens pour des choses qu’ils ne consomment pas. Cela s’appelle du racket.
5. Claire vise la mauvaise gestion de l’Etat et de ses organismes « paritaires » ainsi que l’illégalité au regard du droit européen du système coercitif imposé à tous. Elle n’accuse pas les patients particulièrement.