La commedia des ratés

Koizumi, Bush, Raffarin… Autant de dirigeants de grandes puissances et même constat : une gestion calamiteuse portée par la croyance en le rôle important que l’état aurait dans la stimulation de l’activité économique : une utopie que trop partagée…

La dette publique du Japon (près de 150% du PIB) et son déficit ont explosé, à tels points que même la France, pourtant un modèle de bonne gestion comme chacun sait, ferait figure « de petits joueurs ».

Les USA où la politique de baisse d’impôts et d’augmentation massive des dépenses a engendré un déficit rarement atteint, là où Bush avait trouvé un excédent budgétaire à son arrivée. Ce ne sera que plus d’impôts différés et de difficultés.

La France, incapable de réduire ses dépenses et de réformer son état, avec un gouvernement annonçant des baisses d’impôts modiques qu’il ne sera même pas en mesure de respecter. Là pas d’alternative, l’opposition nous propose un programme similaire sinon bien pire. De là à en conclure comme N.Baverez, il n’y a qu’un pas…