Pauvres de nous…

Je trouve dommage que presque personne ne semble avoir compris ce qu’est la pauvreté.

Je vais donc remettre les points sur les I : la pauvreté, c’est l’absence de richesse. Ce n’est pas un espèce d’état mystique d’esclave social assisté ou non imposé par de terribles Prêtres du Capitalisme qui excomunient pour d’obscures raisons Haicaunaumikes (qui bien entendu s’opposent aux raisons Sotciales), en faisant par là des Exclus, terrifiantes victimes d’un Système à marxiser d’urgence.

Et à moins d’imaginer des « droits à » ou autres stupidités socialistes, tout le monde naît très, très pauvre : possesseur de son propre corps et de son propre corps seulement.

Si ensuite, les parents font profiter l’enfant puis, à leur mort, l’adulte qu’il est devenu de leur richesse, ils exercent simplement leur Droit naturel de donner librement ce qui est à eux. Dénier à quiconque ce Droit serait la négation totale de toute notion de propriété, et donc déjà de l’esclavagisme.

Je vous demande donc, à vous les hérauts de l’Egalité des Chances (et des Tailles, et des Intelligences, et des Maladies aussi???) : qui êtes-vous donc pour reprocher aux parents l’amour de leurs enfants?