Concours de trolls n°2

Le premier concours de trolls a été gagné haut la main par Free2, mais Yayou a décidé de contrattaquer.

J’ouvre ce second concours de trolls ce soir, jusqu’à ce qu’il atteigne les 100 commentaires, et je ferme l’ancien (il deviendra INTERDIT de poster dessus…).

Qui nous fera la diatribe la plus bête envers la liberté ? Qui vantera au mieux les mérites du communisme ? Qui nous fera une biographie élogieuse de Castro ?

Allez-y messieurs les trolls, lâchez vous!

A tous mes amis je lance par contre cette mise en garde: NE REPONDEZ PAS.

Paris citadelle ?

La ministre de l’Ecologie, Roselyne Bachelot, a fait savoir aujourd’hui qu’elle n’excluait pas de mettre en place un système de péage à l’entrée de Paris (bonjour les bouchons!), qui connaît depuis le début de la semaine de nouveaux pics de pollution à l’ozone et au dioxyde d’azote.

« L’expérience de Londres mérite d’être analysée dans tous ses aspects (…) », a-t-elle ajouté, soulignant qu’il fallait avoir « une démarche socialement responsable ».

C’est vrai que les transports en commun (seule solution de remplacement) sont vraiment fiables (sauf en mai, juin) et pas du tout bondés aux heures de pointe. De plus,leur coût est faible pour la collectivité.

L’impôt socialement responsable : beau concept. Impôts écologiques, de solidarités etc… Tous les prétextes sont bons pour en inventer : vous n’avez pas fini de payer, c’est pour votre bien !

La commedia des ratés

Koizumi, Bush, Raffarin… Autant de dirigeants de grandes puissances et même constat : une gestion calamiteuse portée par la croyance en le rôle important que l’état aurait dans la stimulation de l’activité économique : une utopie que trop partagée…

La dette publique du Japon (près de 150% du PIB) et son déficit ont explosé, à tels points que même la France, pourtant un modèle de bonne gestion comme chacun sait, ferait figure « de petits joueurs ».

Les USA où la politique de baisse d’impôts et d’augmentation massive des dépenses a engendré un déficit rarement atteint, là où Bush avait trouvé un excédent budgétaire à son arrivée. Ce ne sera que plus d’impôts différés et de difficultés.

La France, incapable de réduire ses dépenses et de réformer son état, avec un gouvernement annonçant des baisses d’impôts modiques qu’il ne sera même pas en mesure de respecter. Là pas d’alternative, l’opposition nous propose un programme similaire sinon bien pire. De là à en conclure comme N.Baverez, il n’y a qu’un pas…

Education : la réforme impossible

L’émission de France 2 diffusée début septembre et à l’occasion de laquelle le ministre Ferry était invité pour expliquer sa démarche montre à quel point le débat est piégé au pays du collège unique.
Collègue unique, pensée unique, le tout contrôlé par un univers médiatique aux ordres du politiquement correct qui choisit clairement son camp et dicte ses critères de légitimité politique.
Ainsi, en fin de soirée, M. Jack Lang arrive majestueusement sur fond de musique et d’ovation pour achever le procès du ministre Ferry. Car cette parodie d’émission politique n’est qu’un avatar supplémentaire de la télévision spectacle qui n’est pas destinée à nous faire réfléchir mais à éliminer le mauvais candidat.
Pour déployer le registre émotionnel et démagogique, M. Lang est très fort. Mais que vient-il faire là ? Est-il consacré ministre à vie de la culture et de l’éducation ? Mais si son bilan avait été brillant, on n’en serait pas là aujourd’hui. Ceux qui sont toujours à vitupérer le marché, l’entreprise ou le secteur privé – et ils étaient majoritaires parmi les professeurs invités à cette émission – devraient avoir le courage d’admettre que l’école en France est au main de l’Etat depuis quasiment un siècle.
Ce monopole finit par être contre-productif et quasiment destructeur dans un monde dynamique, changeant et ouvert. Les dysfonctionnements que l’on ne peut plus nier en ce domaine (violence, illettrisme, démotivation, chômage) ne sont pas une fatalité. Ils ne sont pas non plus imputables aux forces du marché qui sont quasiment étouffées en France. Ce sont bien les défaillances de l’action publique et de l’administration centralisée qui sont en cause dans cette affaire.
Mais c’est un sujet trop tabou pour être débattu. On parle des pères fondateurs de l’école comme s’ils avaient le même statut historique que les pères fondateurs de la constitution des Etats-Unis. On sacrifie une jeunesse sur l’autel d’une nouvelle religion, d’une nouvelle idole : le collège unique et tous ses enseignants engagés dans une grande croisade contre les inégalités. Mais l’on demande aux enseignants de transmettre des connaissances aux enfants avant tout, non pas de réduire les inégalités.
Qu’il y ait égalité des chances, c’est une noble cause. Mais elle n’impliquera jamais égalité des résultats. Surtout si l’on cherche à imposer un moule unique à un monde nécessairement divers et mouvant. Ces messieurs ont en tête une utopie et ils veulent violer la réalité pour la forcer à leur modèle. Ah, les séries télévisées de nos chaînes publiques (l’instit, madame le proviseur) ne nous font-elles pas rêver ? Mais tout cela est artificiel, il y a des scénarii, on rêve et on fabrique une réalité télévisuelle à l’aide des subventions de M. Lang. La boucle est bouclée.

En attendant, dehors, dans le monde réel, les entreprises manquent cruellement de personnel, qualifié ou pas tandis que nous avons des étudiants à vie, des chômeurs bardés de diplômes, des faux étudiants qui n’ont pas l’intention de travailler, et des jeunes très qualifiés ou très motivés qui quittent la France.
Et comme toujours, on s’écoute parler : nous avons le plus beau système du monde. Chacun y va de sa solution, sans plus aucune courtoisie pour son ministre. Le ministre, il est là pour en prendre plein la vue ! Et comment s’étonner après de tels spectacles de la perte de l’autorité.
Les professeurs vivent de l’Etat mais ne respectent rien de l’Etat. Ils parlent sans cesse de solidarité et de générosité mais ne sont pas prêts à travailler plus pour sauver le système qu’ils prétendent pourtant défendre. Les fonctionnaires n’ont jamais signé de contrat avec l’Etat. Sortez-moi votre contrat de travail madame l’institutrice ! Non, vous êtes à la merci de n’importe quel ministre qui viendra changer les lois selon les circonstances. C’est cela la gestion étatique. Et c’est le même phénomène avec la sécurité sociale. Il n’y a jamais eu de contrat passé entre les cotisants (les assujettis !) sociaux et les caisses. Si, madame l’institutrice, vous êtes choquée et en désaccord avec l’Etat-Employeur, ayez le courage de démissionner. Il n’y a que dans le secteur privé et dans un contexte d’Etat de droit, que les relations contractuelles se traduisent par des contrats signés.

Alors vous dérapez en reprochant au ministre d’avoir laisser « crever les vieux cet été ». On ne me fera pas croire au dérapage. Tout cela est orchestré par un journaliste qui se met au même niveau qu’un animateur de Star Académy. On sélectionne soigneusement les invités, on donne la parole aux plus vindicatifs et le ministre, piégé, sur la défensive, doit répondre. Et le public attend : comment va-t-il se sortir de là ? C’est pitoyable et j’en appelle au remboursement de la redevance si c’est cela le service public de l’information. La télévision publique est un instrument de propagande. C’est clair sauf pour les ignorants que nous finissons par devenir avec la complicité active du collègue unique (duquel nous sortons tous) et des médias complaisants qui ne tolèrent la critique dans un sens déjà bien pré-établi. Si la France se réduit à l’Etat, alors même que toutes les missions que nous avons confié à la gestion publique sont en crise, alors la France est morte.

Pour finir, laissez-moi confirmer les propos alarmistes entendus dans cette émission mais minimisée par la langue de bois syndicale. Je suis responsable pédagogique à l’université, au niveau licence. Je constate que les étudiants en effet ne savent pas lire. Certes, ils savent lire techniquement, bien qu’ils ont grand mal à ne pas buter sur certains mots. Ils voient rarement la ponctuation. Mais ils récitent un texte sans comprendre le sens. Je n’ose plus leur demander de rédiger une dissertation. Les langues vivantes : ils trouvent l’anglais difficile et peu utile ! Les mathématiques : c’est désastreux. Mais, ils savent manifester dans la rue dès que l’UNEF claque des doigts et réciter des slogans vaseux (aujourd’hui, sur mon campus, un étudiant comparait Raffarin à Goebbels ; je veux rappeler à ces hordes diplômées mais ignorantes que Goebbels était un ministre socialiste, national-socialiste).

JL Caccomo JL Caccomo est Maître de Conférences en Sciences Économiques à l’Université de Perpignan.

Les suèdois ont-ils raison?

Ce week-end, les suèdois se sont prononcés contre l’entrée dans l’euro (et les traités qui l’accompagent). Ce non est très souvent perçu de façon négative par nos médias (pour qui l’europe serait le bien?). L’Europe, si elle n’a pas que de mauvais cotés (libre circulation des biens, des personnes…) constitue une structure technocratique supplémentaire, un état au dessus de l’état qui ne peut dans sa structure actuelle qu’entrainer de nouvelles contraintes et de nouveaux coûts. On peut bien mettre en exergue les bénéfices économiques qu’un pays peut retirer de l’euro, mais même s’ils s’avéraient réels, vaudraient-ils l’abandon d’une nouvelle portion de liberté?

« Le monde n’est pas une marchandise », non?

Coup de Gueule !

Un de mes – très – proche était hier à l’AFPA* pour une série d’entretiens visant à évaluer ses capacités en vue d’intégrer une formation.

Il est revenu « blasé » Et après l’avoir entendu, moi je suis profondément SCANDALISEE !! L a bientôt 30 ans. Il est bénéficiaire du RMI depuis plus de 6 mois, après créé une « start-up » qu’il a géré pendant 3 ans avant que la « bulle » n’éclate et qu’il perde tout.
Autant dire qu’il n’est pas en grande forme…

Donc, depuis 6 mois, il passe des tests à l’AFPA pour entrer en formation.
Les derniers qu’il avait passé à Montpellier s’étaient avérés concluant, il a donc été invité à continuer la sélection à Brives.

D’ici, il faut environ 6 heures de route pour se rendre à Brives, les frais de déplacement ne sont pas remboursés par l’ANPE.

L passe donc plusieurs tests, la journée se passe bien. Vient le dernier, test « technique » effectué par les formateurs du centre.

C’est là que l’histoire commence :
Au lieu de lui parler technique, les 3 formateurs commencent à « commenter » son CV en le raillant : « Vous avez monté une entreprise avec des amis et vous vous êtes cassé la gueule, hihii.. », « Tous ces guignols qui ont monté des sociétés pendant la folie internet.. », « Créer des jeux, c’est un travail ? » etc..

Ils continuent par refuser de croire en l’expérience de L. comme si il était impossible qu’il ait travaillé pour TF1, M6 ou la Cité Numérique de La Villette…

Bref, plutôt qu’un test technique, L a fait l’objet d’une véritable humiliation. L’entretien n’était pas constructif, mais destructif. Aucune question technique n’a été posée, à aucun moment ces formateurs ne se sont intéressés aux compétences de L.

Pourtant, sur le site de l’AFPA, on trouve « l’éthique » de l’association :
Le respect de la personne : tolérance, dialogue, qualité de l’accueil aussi bien vis-à-vis des bénéficiaires que du personnel, l’AFPA cherche à créer un cadre de travail accueillant et motivant pour tous.
L’écoute : accueillir, orienter, former, accompagner, voici les bases du métier de l’AFPA. Et pour y parvenir au mieux, rien ne vaut l’écoute. Écouter, c’est en effet le premier acte professionnel non seulement de tous ceux qui sont en contact avec les publics, mais aussi entre collaborateurs.

On a vu mieux comme façon de « respecter » et d' »Ã©couter » !!

Quand on sait que l’AFPA exerce un quasi-monopole de la formation des demandeurs d’emploi et quand on sait que chaque année l’AFPA « oriente » plus de 200.000 personnes.. Ca fait peur..

Reste que L se sent minable, il n’a plus goût à la vie, et regrette finalement d’avoir abandonné ses études pour créer une entreprise, même si celle-ci a créé plus de 10 emplois..

Et j’ai mal pour lui :(
* Association nationale pour la Formation Professionnelle des Adultes.
Association para-publique. www.afpa.fr

Retour au bercail

Je reviens, non pas de vacances, mais d’une période « hors ligne » et je me trouve particulièrement interloquée par une série de commentaires signée « Alex »..

Je réagis, à froid, et à la bourre.. Alex, tu arrives donc en écrivant « les inégalités ne sont pas naturelles« , et « différences mais pas inégalités« , ben tiens, le lion est naturellement plus fort que la gazelle, elle n’est donc pas son égale.. Je fais un parallèle avec ma propre expérience d’être humaine : je suis ce que l’on peut appeler une « jolie fille », je n’ai rien fait pour ça, c’est naturel, mais grâce à ce « don » inné, j’ai obtenu des boulots, des avantages que d’autres femmes moins jolies n’auraient pas eu, et ça continue..

Alex, n’est-ce pas une inégalité pour la femme qui n’a pas cette chance ? J’en connais, et effectivement, elle galère plus au quotidien que moi, heureusement, elle a d’autres « chances » naturelles que je n’ai pas.

Je continue, « tu tiens à préciser que tu n’es pas communiste… » mais tu es contre la propriété privée. Tu devrais lire (relire ?) Marx, tu tapes en plein dans le mille..
Et « …le communisme n’a jamais existé véritablement« , prenons un autre exemple, celui d’une équation mathématique censée donner le bonheur à tous : à chaque tentative d’application de l’équation, le résultat n’a été que massacres, famines, pauvreté, malheur ; Serait-ce parce que l’équation n’a jamais été *véritablement* appliquée, ou simplement parce que cette équation est tout simplement FAUSSE ?
Le communisme, je te le dis, n’a jamais apporté le bonheur, et ne l’apportera jamais, il repose sur des hypothèses fausses, et il répand l’horreur partout où il passe.

Passons à la démocratie qui serait une « décision commune« ..
La démocratie, c’est clairement la loi de la majorité imposée aux minorités. Si on faisait un référendum sur la peine de mort et que la majorité des Français se prononçaient « pour », serait une décision commune ? Juste ? Non, Alex, ce serait une décision prise par une majorité de personnes au nom de tous, et tu serais « contre » tu ne pourrais rien y faire..

La démocratie est certes un des meilleurs systèmes connus, mais elle n’est pas LE meilleur..

J’ai l’impression, Alex, que tu confonds les termes :
– Le colonialisme, parti d’un bon sentiment et ouvertement promu par Jules Ferry ;
– L’esclavagisme, quasi disparu aujourd’hui pour de simples notions de profits ;
– Le capitalisme, système de LIBRE échange incompatible avec le colonialisme (Imposition de règles par un Etat étranger) et l’esclavagisme (non propriété de soi et des fruits de son travail)..
Nous y sommes habitués, mais je trouve ça dommage, surtout quand on sait qu’un minimum de lecture, notamment historique, te permettrait de te rendre compte de tes erreurs.

Nous arrivons à la notion de travail, que tu ne sembles guère apprécier, moi non plus je dois dire..
Tu préfères donc bosser pour ton voisin plutôt que pour un patron (encore faudrait il définir ce qu’est un patron), je vais te dire : ça dépend du voisin, du patron, du boulot, de mon humeur et de l’intérêt que l’échange m’apportera. Tu poses un principe absolu à une situation hypothétique dont tu ne connais rien.. Peut être est ce valable pour toi, mais est ce une raison pour l’affirmer comme si cela s’appliquait à tous les individus ? C’est justement cela la liberté : tu fais ce que tu veux, et tu n’imposes rien aux autres, qui font ce qu’ils veulent..

Pour survivre, l’homme a TOUJOURS du faire des efforts, physiques ou intellectuels, les 2 bien souvent. Avant, il fallait chasser des semaines entières au péril de sa vie, désormais, quelques heures de travail par jour suffisent, et elles permettent, en plus, de VIVRE (bien différent de la survie).Tu nous excuseras si nous préferons travailler plutôt que risquer notre peau pour le même résultat !

J’en arrive à ma phrase préférée : « Les gens ne sont pas libres de penser par eux-mêmes« . Quelle prétention ! Tu ne penses pas, toi, par toi-même ?!
T’as besoin d’un énarque pour qu’on te dise quoi faire ? Tu as besoin de la majorité pour savoir ce que tu veux faire de ta vie ? Tu ne sais pas zapper quand la pub t’emmerde ? Choisir Nutella plutôt que Pâte à tartiner super U ? Faire le marché plutôt que remplir un caddy à Carouf ?
Pauvre Alex ! Ce que la grande majorité des êtres humains est capable de faire – faire ses propres choix – tu ne le vois même pas..

Tu parles de dépressifs, de misère, de suicides.. As tu seulement imaginé la misère morale, physique, spirituelle, culturelle qui sévissait il y a 100 ans ?!

Pauvre Alex ! Ta vie doit être bien triste si tu ne vois pas la beauté de l’être humain..
Je suis pauvre, heureuse, capable de prendre mon destin en main. J’accepte les inégalités comme autant de raisons d’évoluer vers le mieux..

L’espèce humaine est forte de ses différences, la seule égalité qui puisse exister est celle du Droit naturel : celui d’être propriétaire de son propre corps, de sa vie, de ses choix, et d’être libre de faire ce que l’on veut avec cette propriété, tant que l’on agresse personne..

Sorti de ça, nous sommes et serons toujours inégaux, de là notre capacité à nous dépasser pour aller vers le « mieux », cette notion subjective que seul chacun d’entre nous peut connaitre pour lui même.. Un mot au sujet de la publicité : tu pourrais la supprimer, il resterait la REPUTATION..

Dégoûté…

Après la baisse de 1% (1% ou 1 point ? les taux baissent ou c’est 1% sur un taux de 40% => 0,04 point ?) de l’impôt sur le revenu, voilà que la taxe d’habitation va augmenter de 3,5% (en moyenne), l’essence, les clopes + 15%, l’alcool, les médicaments du meilleur système au monde encore moins remboursés…

Et là je vois un député UMP (de l’Indre, Hervé Novelli) qui raconte quoi ? « Le message du gouvernement est un peu brouillé, il faut le clarifier: les signaux envoyés à l’économie [c’est qui, l’économie ?] doivent être clairs: la baisse des impôts est commencé » etcetera.

Et la journaliste ? Rien. Elle l’écoute parler. Alors qu’il est en train de dire des conneries. Les impôts augmentent. Le revenu REEL d’un tas de français va encore chuter de quelques %. Rien de « grave ». Un ciné de moins pour certains. On se passera de vacances pour d’autres. On repousse l’achat de fringues. Pour d’autres ce sera grave par contre: ils peuvent plus payer le loyer. Ils sont obligés de sauter des repas. Ils se chauffent plus. Ils mangent froid.

Qu’ils regardent la télé: ce qui importe, c’est que le message soit clair, pas qu’ils aient à manger!

Tout sur Moore

Michael Moore est un menteur chronique. Voici donc une série de liens pour le réfuter, démonter ses mensonges, et avoir l’air malin en société!

Allez vite suivre les liens du dossier Moore

Si vous avez des liens à suggérer, mettez les en commentaire, je les ajouterai.

Chili con Carne

Dans un message antédaté du 11 septembre de mon blog, j’écris, au risque de me faire traiter de « fasciste »…

Les socialistes ont profité du 11 septembre 2003 pour verser des larmes sur Allende suicidé 30 ans auparavant, et rebaptiser une place de Paris à son nom. En contrepoint, ne manquez pas la lecture de « Le 11 septembre… 1973 » d’Ase (trouvé grâce à Turion Lugol), et en anglais de « Chile under Allende » de George Irbe. [Mise-à-jour: plus complet, The Allende Myth de Val (trouvé via MIF).]

Pour moi, Salvador Allende est le meilleur des chefs d’état possibles: un chef d’état mort. Lire la suite sur mon blog…