François GUILLAUMAT: Thèse

J’ai mis en ligne la thèse de Guillaumat. La première partie de la thèse est une révolution intellectuelle: elle s’inspire des travaux de Hans-Hermann Hoppe, de ceux de Rothbard et de Ayn Rand. Elle vise à établir les principes axiomatiques du Droit et de la science des normes éthiques. Pour ce faire Guillaumat démontre que la raison n’est pas impuissante à découvrir et justifier la norme politique et les normes éthiques. Les moyens de preuves utilisés réhabilitent de manière irréfutable l’idée que les sciences expérimentales n’ont pas le monopole de la vérité. A lire et à méditer. où trouver la thèse? Ici: THESE

Extrait:

« Lorsque, après avoir étudié l’analyse conventionnelle des « structures industrielles » dans le cadre de ses présupposés et en y adhérant pleinement, on a fini par comprendre, et mieux encore peut-être que lui-même, ce que Ludwig von Mises entendait par « la validité des concepts et la cohérence du raisonnement », on est au moins certain d’une chose : pour faire comprendre à un économiste habitué à cette analyse que sa fameuse « science », si fière de ses formalisations mathématiques, n’a pas de concepts définis, que son « expérimentalisme » dogmatique ne fait que multiplier les faux « tests » et des simulacres de « mesures » et que, pour ce qui est de ses fameuses « normes », elle ne saurait en fait les justifier, il faut fournir de nombreuses explications préalables, une sorte d’introduction à l’approche réaliste que l’on veut présenter à la place

Cette première partie entend donc d’abord attirer l’attention de l’économiste sur le fait que le pseudo-expérimentalisme ici critiqué est bien incapable de valider les conclusions qu’il prétend avoir établies. Il s’agit de rappeler les conditions de la validation expérimentale, de constater que la plupart des économistes qui y croient ne s’y conforment pas, et même que dans certains cas ils l’avouent. Cependant, comme ils sont loin d’en tirer toutes les conséquences, on leur montrera dans le premier chapitre ce qui en découle : impasses de l’étude théorique, caractère non concluant de l’observation, et plus que tout, parce que c’est le but ultime de cette manipulation, affirmations normatives qui sont contradictoires — entre autres parce qu’elles sont, de leur propre aveu, arbitraires.

Le deuxième chapitre tentera d’initier l’économiste qui ne la connaîtrait pas à l’approche réaliste de l’économie, qui la conçoit comme une analyse des lois générales de l’action humaine, avec tout ce qui en découle : l’objet de l’économie, est le produit des actes de la pensée ; il s’ensuit que lui appliquer la méthode expérimentale conduit à des contradictions (qu’il suffit de voir), mais que la discipline de la cohérence logique, de toutes façons exigible du savant, se trouve suffire pour valider et les concepts et les énoncés théoriques, y compris normatifs. L’économie et le droit ayant le même objet d’étude, il se trouve aussi que les analyses de la philosophie politique rejoignent celles de l’économique normative.

L’économiste qui ne les connaissait pas pourra, à cette occasion, s’initier à des types de raisonnement à et des moyens de preuve dont il n’a pas l’habitude et dont on peut tirer un certain parti à partir du moment où on les a compris — ce qui entend représenter l’apport essentiel de cette première partie. »

le socialisme ultime

Le dernier résidu de socialisme reste encore l’appropriation « collective » d’un territoire par les hommes de l’Etat. Et si c’était cela la cause ultime de la guerre sous toutes ses formes?

Une réponse pertinente de Guy Millière suit l’article. Je remercie François Guillaumat de m’avoir inspiré cette réflexion. Il avait diffusé le texte d’un objectiviste randien dont l’appel émotionnel à l’utilisation de l’arsenal nucléaire (1) posait si cruellement le problème des victimes innocentes qu’il avait suscité une vive réaction de Martin Masse et de moi-même (indécrottables libertariens que nous sommes). En réponse, François Guillaumat m’écrit : « L’intérêt de ce texte consiste en ce qu’il rappelle ce que je considère comme le message le plus essentiel – parce que pertinent et méconnu – que nous autres libéraux puissions apporter à ce débat. À savoir que le problème est né du socialisme: socialisme accepté par tous les gouvernements, de droite comme de gauche, qui reconnaît de prétendues « richesses nationales » et ne traite pas comme le crime qu’il est le vol que constitue la prétendue « nationalisation » des tout aussi prétendues « richesses naturelles ». »

Cette réponse que j’approuve a des implications considérables parfaitement en harmonie avec ce que les scientifiques de l’école autrichienne d’économie ont établi, à savoir le caractère absolument contraire au Droit de toute structure étatique, à savoir que le socialisme est à la fois économiquement désastreux et éthiquement faux.

Or, chez les libéraux classiques, les « combattants de la liberté » comme Guy Millière se qualifie maintenant, il subsiste un socialisme ultime dont on peut se demander dans quelle mesure son élimination ne conduirait pas à un monde pacifié. Il est vrai que ce progrès dans la cohérence les amènerait tout droit dans le camp des hérétiques libertariens anarcho-capitalistes. Mais l’essentiel n’est pas de choisir son camp, il est de rechercher le vrai.

Ce socialisme ultime est la nationalisation du territoire, la socialisation de la surface du globe et principalement de la parcelle dont l’Etat français a le monopole. Car il s’agit bien d’une socialisation dans la mesure où la
propriété privée d’un terrain est purement formelle. Elle est soumise à des réglementations étatiques qui réduisent au statut de pure farce le principe libéral « je fais ce que je veux avec ce qui m’appartient et rien qu’avec ce qui m’appartient ». On peut lire à ce sujet, de François Guillaumat, « La politique du décalogue »(www.liberalia.com): « C’est en cela que le libéralisme s’oppose à l’étatisme [et à l’Etat!] : pour lui, un voleur, un assassin ne sont pas ceux qui ne passent pas par les procédures étatiques reconnues pour dépouiller leur prochain ou l’expédier ad patres : pour le libéral, à l’inverse du démocrate-social qui se fait souvent passer pour lui, le voleur est celui qui s’empare du bien d’autrui sans son consentement ; quels que soient l’agresseur, la victime, le motif du vol, la destination du butin, les « besoins » des receleurs, ou encore le nombre de personnes qui approuvent ce vol ou nient qu’il en est un. »

Un Etat minimum, chargé de la seule police des droits de propriété, n’y changerait rien puisqu’il présuppose la propriété collective d’un territoire. De cette propriété collective, un gouvernement «libéral» pourrait
bien vouloir ne pas en user pour en déléguer (et pas l’inverse en réalité) les droits à des personnes privées, cela ne changerait rien au fait que l’Etat impose son «monopole de la violence» et son droit sur tout le territoire. Ce socialisme ultime, seuls les libéraux conséquents l’ont reconnu et critiqué : Rothbard, Hoppe, Salin…(2)
Ainsi, chaque fois qu’un « libéral classique » justifie une opération militaire étatique il doit savoir qu’il justifie le socialisme ultime c’est-à-dire la cause fondamentale des conflits: l’appropriation par une mafia étatique d’un territoire. La contradiction peut sans doute être soutenable pragmatiquement, en cas de légitime défense, mais elle ne saurait être rationnellement et durablement justifiable. Les socialistes sont dans l’erreur, nous le savons et les Mises,Hayek, Rothbard, Hoppe, Salin en ont
ramené plus d’un à la raison. Mais les «libéraux classiques» ne pourront pas indéfiniment perpétuer cet «arrêt de la pensée». Ils devront bien un jour abandonner leur socialisme ultime.

(1) « La question est simple : notre problème est né lorsque nous autres Américains, au lieu de défendre notre intérêt rationnel, avons donné de l’argent à des sauvages en les laissant nous voler les champs de pétrole.
Il sera résolu lorsque nous emploierons notre force, y compris notre arsenal nucléaire, pour écraser la malfaisance de leurs États, reprendre ce qui nous appartient, et coloniser les territoires où errent aujourd’hui les sauvages. » http://capmag.com/article.asp?ID=1117

(2) Voir H. Hoppe :
http://www.lemennicier.com/de%20l’Etat/contre_centralisme.htm et Pascal
Salin, libéralisme, Odile Jacob, 2000

Le point sur l’UE

Samedi dernier, les Irlandais ont dit « oui » au traité de Nice. L’Union Européenne, qui se confond désormais avec le vocable « Europe », va donc s’agrandir. Plus d’Etat, plus de lois, plus de subventions, plus d’impôts. Que peut-on attendre d’autre ? Ah oui, de la propagande dans les médias…
La démocratie foulée aux pieds

Détrompez vous, je ne vais pas prendre la défense de la démocratie. Simplement, quand en permanence on se proclame démocrate comme tous les politiciens européens, on ne foule pas aux pieds le résultat d’un référendum tenu il y a à peine 16 mois. Et pourtant, avec le référendum bis tenu en Irlande c’est bien ce qui vient d’arriver. Ils avaient mal voté, qu’à cela ne tienne: ils revoteront: « obéissez aujourd’hui ou obéissez demain », comme l’écrit Turion.

Heureusement, cette fois ils ont eu « bon ». D’ailleurs sur France Infos, j’ai pu entendre, lors de ma contribution à la santé publique (1), qu’une fois les peuples « bien informés« , ils prenaient de « bonnes décisions« . Dans les termes de Pat Cox, président du Parlement Européen: « La classe politique n’a pas pris la peine d’expliquer les enjeux. Résultat : le camp du « non » a pu faire ce qu’il a voulu« . Il est vrai qu’après avoir modifié le code électoral pour être certain que seuls les pro-traité de Nice s’exprimeraient dans les médias, et changé la question pour la rendre cornélienne pour les anti-Nice, le camp du non n’avait plus une très grande latitude d’expression (3). La déclaration de Pat Cox constitue juste l’aveu naïf du mépris du peuple par les politiciens.

Avec l’élargissement désormais certain, le jeu complexe des propotions des pays de l’Union Européenne dans le Parlement et au sein de la Commission va être chamboulé. Combien de sièges vont échoir aux nouveaux entrants? Qui va perdre des voix? Et la Commission? Doit-elle s’aggrandir pour que chaque pays ait un commissaire? Là encore se posent de graves problèmes pour les champions de la démocratie! D’où l’on peut imaginer d’intenses négociations, les petits pays n’ayant pas envie de subir les dictats des grands, les grands n’ayant pas envie de faire face à une coalition de petits non plus. A ce jeu là un électeur Hollandais vaut nettement plus qu’un Allemand ou qu’un Français, mais moins qu’un Luxembourgeois ou qu’un Danois. Un exemple ? L’Allemagne a 8% des sièges au Parlement, contre 2% pour l’Irlande, 20 fois moins peuplée. Allez expliquer ça aux Européens maintenant. Ce qu’il y a derrière toutes ces manigances, ce sont simplement des clés de répartition de postes entre hauts fonctionnaires: donne moi la commission machin je te donne le comité truc! L’emballage « politique » des « petits » et des « grands » pays n’est là que pour permette aux journalistes de faire un papier. Après tout, pourquoi ne pas dire qu’au lieu de grand et petit pays on parlera désormais des pays du Nord et du Sud ? L’opposition latine/anglo-saxonne ? Ou mieux: réformistes et papistes!

Si de tous les pays européens, seuls les Irlandais ont voté sur le traité de Nice, tous les autres pays l’ont déjà ratifié au travers des Parlements. Pour l’information du citoyen, il va encore falloir attendre, alors voilà ce que j’ai pu glaner sur ce traité mystérieux: fin du droit de veto sur 39 sujets, défense européenne, politique extérieure européenne, élargissement, future constitution… Les journaux restent relativement vagues sur le contenu réel, préférant surtout parler de la « convention sur l’avenir de l’Europe » de Giscard d’Estaing. Elle fixera les modalités de prise de décision collective à 25. Requérir l’unanimité à 15 c’est déjà difficile, à 25 ce sera impossible. Comment alors prendre les décisions essentielles sur « les brevets communautaires? La régulation des marchés financiers? » (dixit Romano Prodi, président de la Commission Européenne). En tant que libéral acharné, je me le demande aussi, et j’espère ne jamais avoir de réponse. Il est évident cependant qu’elle sera trouvée un jour la solution miracle: celle qui contentera chaque fonctionnaire politicien, qui permettra à tous de trouver son bonheur dans les nouveaux palais de Bruxelles. Ce jour là on peut s’attendre à une nouvelle déferlante de lois. Il paraît que chaque année 60% des nouveaux textes législatifs français sont en fait issus de Bruxelles. Le jour où il deviendra « simple » de prendre une décision, combien de lois arriveront quotidiennement de Bruxelles ?

A court terme, rien ne devrait réellement changer pour l’Européen moyen, pas même sur le plan financier. Comme toutes les structures étatiques elle sera relativement indolore dans les premiers temps, pour les pays de l’UE. Elle sera peut-être même bénéfique, avec les provisions du traité sur la mise en concurrence de « services publics ». Mais il faut aussi que les pays entrants dans l’UE se mettent à niveau: ils doivent adopter les lois européennes, y compris sociales, fiscales etc. Imaginez demain les Hongrois avec les normes sociales européennes: 35heures ? Sécurité sociale ? Qui sait ce qui va leur tomber dessus et grever leur compétitivité ? Et les agriculteurs Polonais ? Face aux Bretons subventionnés, que deviendront-ils ? Eux aussi seront pris sous la déferlante lointaine des textes bruxellois. Ils connaitront aussi le calibre idéal des patates, la composition exacte du chocolat, et le temps de travail normé d’un chauffeur de poids lourd. A cette aune là, les nouveaux venus risquent bien vite de regretter l’entrée dans l’UE.

Ce, d’autant plus qu’ils croyaient toucher le pactole européen: la Politique Agricole Commune ne sera pas étendue, et d’ores et déjà la Tchéquie, Malte et Chypre seront contributeurs nets au budget, dès la première année! Ils subventionneront les pays concurrents, dans la plus grande joie on l’imagine. Le magot ira aux autres pays: 40 milliards d’euros pour intégrer la Pologne, la Hongrie, la Slovénie, la Slovaquie, et les Etats Baltes. Avec le désastre économique qui se profile, entre les lois européennes qui étoufferont les entreprises viables et les subventions qui iront nécessairement soutenir des industries qui devraient mourir, le budget européen restera-t-il stable ? Rien n’est moins sûr, même si pour l’instant le budget européen est plafonné à 1.27% du PIB des 15. Toute bureaucratie est destinée à croitre, surtout en cas de crise: rappelez vous cette loi d’airain de l’action gouvernementale: « plus on est inefficace, plus on a de budgets ». C’est bien connu, dans une faillite étatique, ce n’est jamais le mode d’action qui est en cause, c’est le manque de moyens.

Tout est donc en place pour un futur désastre à l’échelle européenne: monnaie unique, Super Etat incontrôlable, Commisssion qui ressemble plus à un Politburo, des institutions toutes redondantes avec celles des pays membres… Bientôt viendra le moment de faire un budget européen, et donc un impôt européen pour financer les catastrophes: défense, justice européenne, subventions en pagaille. Le « pacte de stabilité », supposé garantir la valeur de l’euro en obligeant les Etats nationaux à avoir des budgets équilibrés a volé en éclat dès la première année de l’euro, et l’on devrait croire que les plans et les traités futurs vont être respectés ? Il n’en est rien évidemment: les budgets seront toujours dépassés, les hommes politiques salivent déjà de gourmandise en rêvant des milliards à venir, aux postes à pourvoir dans toutes les institutions, aux multiples fêtes et déplacements, comités et réunions de travail, tandis que les têteux de subventions alléchés multiplieront les courbettes devant les nouveaux seigneurs.

En attendant la propagande continue tous les jours dans tous les journaux. A cet égard, je conseille tout particulièrement France Infos, radio d’Etat, qui au travers de 3 chroniques donne une bonne idée de l’enfer qui nous attend avec l’Union Européenne. 1: en clair, je faisais un jogging.
2: Propos recueillis par Le Monde
3: voir à ce sujet « They rigged the rules, then the question » de Daniel Hannan pour The Telegraph
The Telegraph.co.uk

Quelques pensées…

Que des mauvaises nouvelles ces derniers temps.
D’abord une petite partie sur la religion de paix et d’amour, car ça fait longtemps que je me tais sur le sujet et je commence à en avoir assez de cette hypocrisie généralisée, et de la peur de tomber sous les fourches caudines de la police de la pensée (MRAP et autres pourritures antiracistes).
Ensuite, quelqes articles de ci de là sur Slashdot, avec mes commentaires, et puis quelques liens si je les retrouve. L’Islam, religion de paix d’amour et de tolérance.

Bon, si quelqu’un croit encore en ces mantras répétées à l’envie par tous les politiciens, y compris W. Bush, qu’il tourne les yeux, je vais affirmer le contraire. Je crois que l’Islam est une religion de haine, de guerre, et d’intolérance profonde. Comme Mark Steyn, je pense que pour beaucoup de musulmans, pas tous heureusement, nous haïssent parce que nous sommes des dhimmis, des infidèles, des mécréants.
Je pense que les attentats successifs des 30 dernières années montrent bien que les extrêmistes musulmans sont bien dans une logique de conflit total, c’est à dire il ne doit en rester qu’un avec l’Occident, enfin, ce que eux perçoivent comme tel. Mais alors, je ferais l’amalgame avec tous les autres ? Les autres ? Ceux qui dansent quand les Twin Towers s’effondrent ? Ceux qui klaxonnaient dans les boulevards du Nord de Paris le 11 Septembre ? Les condamnations d’actes terroristes sont toujours longues à venir chez les recteurs de mosquée, plus longues en tout cas que la mise en route d’un procès contre Houellebecq! Et les modérés ? Quels modérés ? Le très télégénique Tariq Ramadan, « modéré », qui prône la séparation filles/garçons à l’école, l’arrêt de l’enseignement de la biologie, et celle de l’éducation physique ? En effet, ceux là, je les mets dans le même sac que les terroristes. Après tout, ils fournissent l’idéologie de base, trouvent toujours des justifications aux actes de leurs « frères ». Peut-être serait-ce leur demander d’abandonner une partie de leur foi ce faisant ? Je ne sais pas, eux seuls peuvent me le dire.

Dans le même temps les bombes explosent: à Bali, le Limbourg, donc la France, est touché. Des soldats US se font tirer dessus au Koweit. A l’instant même j’apprends que ce serait un ex-soldat US converti à l’Islam qui tuait des innocents. Motifs religieux ? certainement pas, mais qui sait ? En Israël ce sont encore 7 ou 8morts. A Moscou, 700 personnes sont prises en otage. Aux Phillipines, les attentats se succèdent. En Côte d’Ivoire, il apparaît clair que c’est une scission religieuse qui a lieu, le Nord est musulman, le Sud chrétien.

En France la situation n’est pas fameuse non plus. D’abord la police italienne a arrêté ces 6 derniers mois plusieurs commandos qui visaient la France, mais il y a des phénomènes plus insidieux: faites donc un tour sur Racisme Anti-Blanc. Ou mieux, sur Le Monde. La charia est imposée progressivement aux filles dans les cités, il y a des mariages forcés. Un ami m’indique qu’il a connaissance de tribunaux « privés », où les litiges se règlent entre frères. Sans compter les voitures qui brûlent. Vous avez pensé à mettre un chapelet musulman à votre rétroviseur intérieur ? On appelle ça de la prévention. Bon, je ne sais pas si je dois en rajouter. Je crois qu’avec ce que j’ai écrit je suis déjà bon pour une plainte de la LICRA du MRAP et de la Ligue de Droits de l’Homme. Ma ligne de défense: je ne fais que dire la vérité. Je ne dénonce pas là les « musulmans » dans leur ensemble, seulement les effets atroces de leur culte quand il est appliqué. J’aimerais les voir abandonner leur religion, ou du moins l’amender. J’espère que ceux qui croient en un Islam dépouillé de la haine, si ils existent, triompheront. Je suis pessimiste.

Des brevets, de la censure…

Un sujet plus « gai », ouf! Google.fr et .de ne donneront plus de résultats sur les recherches sur certains sites pro-nazis mais aussi… anti-avortements! (Slashdot). Une compagnie de San Diego utilise les brevets pour racketter des petites entreprises faisant du e-commerce: peut-être une stratégie avant de s’attaquer à des grosses boîtes: faire reconnaître la validité du brevet en le faisant appliquer, puis en s’appuyant sur une jurisprudence, attaquer Amazon! (Slashdot).

De quoi d’autre je voulais parler ? Je ne sais plus vraiment. Ah oui: Kodak n’aime pas les gens qui n’aiment pas les homos: World Net Daily.

Bon je crois que je vais m’arrêter là, peut-être qu’un jour je rassemblerai dans un récit plus cohérent toutes mes pensées sur l’Islam. J’avoue qu’en publiant cet article, je me demande sincèrement si je ne tombe pas sous le coup d’une loi Gayssot ou Pléven sur la liberté d’expression. Est ce que je tiens des propos haineux ? Est ce qu’en dénonçant les agissements de personnes musulmanes sur l’ensemble de la planète je me mets hors la loi ? Heureusement Houellebecq a été acquitté. Mais je ne suis pas Houellebecq. Et je ne dis pas que l’Islam est la religion la plus conne. Allez, prions pour qu’il y ait quelque part des réformateurs qui changent cela.

Free State Project sur /.

Slashot est un site orienté « geek », très technique et scientifique. Et comme ces domaines percutent très souvent l’Etat, il n’est pas rare d’y lire des libertariens dans les discussions. Et même d’y voir une mention du « Free State Project », un projet d’établissement de 20.000 libertariens dans un Etat US pour le « libérer ». Ca vous donne des envies d’émigration ?

A lire sur Slashdot, l’entière discussion suivant la news.
A voir aussi: le site de FSP.

Traité de Nice

Les Irlandais ont mal voté une première fois, ils revotent dimanche. Voici un article à lire sur antiwar.com

Excellent article aussi de Turion sur la Page Libérale (ici même donc)

Privé payeur

C’est en toute discrétion que 500 millions d’euros ont quittés les caisses de retraites des salariés du privé pour combler les trous des caisses publiques. Les syndicats français qui pronent le maintien des régimes spéciaux défendent ils tous les salariés? Les problèmes de financement sont déjà là : seuls les véritables égoistes négligent les interets des autres salariés qui auront à le payer, certainement cher…

AZF: du nouveau

Bien que toute la lumière soit faite grâce à des Toulousains courageux (cf Valeurs Actuelles), la justice tente toujours de valider la thèse fantaisiste de l’explosion « chimique ». Une bonne claque à cette thèse lors de la tentative de reconstitution: je vous encourage à lire l’article du Monde pour vous en convaincre;

Lisez ici

démocratie lycéenne (2)

Commentaires de François GUILLAUMAT à la brève sur le même sujet.

« L’enseignement d’État n’est pas là pour apprendre à penser, mais
pour apprendre quoi penser. »
>La propagande insidieuse au sein de l’éducation nationale se poursuit. C’est
>la période de l’élection du CVL (conseil de la vie lycéenne), organe
>consultatif et « représentatif » présidé par le chef d’établissement et composé
>par les « représentants » des élèves. Il s’agit d’introduire le
>tout-démocratique au lycée.

Tout le pouvoir aux Soviets!

>C’est par cette porte, entre autres, que les >élèves sont dressés
>suivant les valeurs du solidarisme et du >démocratisme.

Il s’agit d’un pseudo-démocratisme, où la vraie démocratie, conformément au vampirisme normatif de la démocratie sociale, est remplacée par son zombi : ce n’est qu’un prétexte pour permettre aux soi-disant « représentants » de décider à la place des individus singuliers qui constituent le peuple. Le « pouvoir du peuple », cela veut d’abord dire, au contraire, que chacun choisit pour lui-même chaque fois que c’est possible. C’est précisément ce dont il n’est pas question dans le monopole communiste de l' »Ã©ducation nationale », qui est précisément là pour l’empêcher, en usurpant le pouvoir
social au profit des esclavagistes de la gauche et notamment des exploiteurs syndicalistes.

> Les élèves veulent la démocratie, c’est-à->dire des
>décisions « collectives ». Mais si la décision >est collective alors la
>responsabilité est « collective ».
>La contradiction entre ce qu’implique >la « démocratie participative » et l’acte
>même de se rendre à un cours est patente. Il >n’est pas très difficile de la
>faire naître dans l’esprit des élèves.

Il faut contester le principe de la « représentation » : montrer qu’il ne peut pas y avoir de « décision » ni de « volonté collective » : il ne s’agit là que d’une croyance irrationnelle, d’une religion officielle. Lire « La France et son Droit et Le
Pouvoir d’entreprendre » de F. Lefort aux Belles lettres.

>Je constate aussi que la logique devrait être >enseignée à l’école.
>Combien de déductions fausses passent directement de la paresse et
>du désir qui en
>découle à la conclusion frauduleuse.

L’enseignement d’État n’est pas là pour apprendre à penser, mais
pour apprendre quoi penser.

laboratoire pour une tyrannie

Le marxisme ne s’affiche plus comme tel, dogmatiquement, mais s’approprie les mots «démocratie», «droits de l’homme», «citoyenneté», pour véhiculer ses idées. Aujourd’hui le socialisme avance masqué.
Alors que le capitalisme et le libre-échange international s’imposent comme la pratique spontanée et naturelle des populations, en particulier celles qui ont le plus besoin d’améliorer leurs conditions, les intellos marxistoïdes et leurs hordes de militants, désireux d’imposer leur politique du brigandage et de l’impôt mondial, se réunissent, débattent, créent des laboratoires de «réflexion» payés par de l’argent public.

La pompe rhétorique étant le premier signe annonciateur de la propagande socialiste insidieuse, comment ne pas décerner un prix d’excellence aux organisateurs de la conférence G02 de Montréal sur la «gouvernance mondiale»(1). Tous, membres d’une sorte de fraternité socialiste informelle, d’un Komintern renaissant qui noyaute l’ONU (à moins que l’ONU ne soit elle-même ce Komintern), ces organisateurs (2) ont fait preuvre d’une belle créativité en novlangue mondialiste: la conférence «société civile et démocratisation de la gouvernance mondiale» aura donc lieu du 13 au 16 octobre à Montréal. Traduction: entre la liberté des individus et la politique «éclairée» des Führer de l’état mondial, il faut choisir. Et leur réponse? Lisez! C’est dans le texte (3). Même pas besoin de décodeur.

La gouvernance mondiale: pourquoi?

Tel est le thème de la première conférence. Que veulent les socialistes de G02? D’abord contrôler «l’interdépendance des citoyens du monde» qui «ne cesse de s’accroître et d’envahir tous les domaines».
Mais qu’est-ce qu’implique ce contrôle? Rien d’autre que l’anéantissement du droit de disposer de ses biens, de les vendre et de les acheter à qui bon nous semble. La parenté avec la méthode communiste est évidente. Pour donner à cette tyrannie un goût moins amer, nommons-la «démocratie participative», leitmotiv du «congrès pour la suppression de la liberté».

Nous savons quoi penser de cette sorte de démocratie: la majorité envieuse a le droit de voler légalement la minorité politiquement plus faible. «Imaginez, écrit Hoppe, un gouvernement mondial, démocratiquement élu à l’échelle mondiale en suivant le principe un homme-une-voix. Que serait le résultat probable d’une telle élection ? Le plus vraisemblable est que nous aurions un gouvernement de coalition sino-indien. Et qu’est-ce que ce gouvernement serait le plus enclin à faire pour complaire à ses électeurs et se faire réélire ? Il découvrirait probablement que l’Occident a beaucoup trop de richesses et que le reste du monde, particulièrement l’Inde et la Chine, bien trop peu, et par conséquent mettrait en œuvre une redistribution systématique du revenu du riche Occident vers le pauvre Orient. Ou alors, imaginez qu’aux Etats-Unis on étende le droit de vote aux enfants de sept ans. Le gouvernement ne serait peut-être pas composé d’enfants, mais ses politiques, selon toute probabilité, refléteraient le « souci légitime » des enfants de disposer d’un accès « suffisant » voire « Ã©gal » à des hamburgers, des limonades et des vidéocassettes « gratuits »Â». (4)

Mais ce ne sont pas que les «riches» qui doivent redouter la «démocratie participative». Hoppe a clairement décrit la logique de la démocratie. L’adjectif «participative» n’est qu’ un leurre destiné à faire croire que tout le monde peut gouverner ou participer au gouvernement. La «citoyenneté» est un autre leurre de ce genre. Nous savons bien, en fait, que seuls quelques uns peuvent gouverner au nom de tous. La raison est qu’il faut bien vivre, donc produire, travailler, gagner sa vie. Les socialistes mondialistes savent très bien qu’une spécialisation du travail est inévitable, que les «citoyens» délèguent leur pouvoir et leurs droits pour pouvoir nourrir leur famille. Car, voter, participer au pouvoir, tout cela ne permet pas de gagner sa vie, sauf en volant l’argent des autres légalement. La «démocratie participative» sera inéluctablement la tyrannie d’une classe, celle des politiciens improductifs.

J’entends déjà la complainte des pleurnichards tiers-mondistes, avec leur rapport Nord-Sud comme seule boussole idéologique. Mais il serait temps de comprendre, et les gens du Sud le savent, que seul le capiatlisme non entravé peut les sortir de l’ornière de la pauvreté. Deux études parues sur le site cyber-institut d’Henri Lepage le prouvent.(5)

L’ONU dénaturée et noyautée

Hommes libres, craignez pour votre liberté ! Les institutions étatiques inventées pour la garantir trahissent leur mission. La méthode du cheval de Troie est employée à grande échelle. L’ONU est contrôlée par l’internationale socialiste. Comme bien d’autres institutions internationales, les Nations Unies sont vampirisées par les communistes et les révolutionnaires d’extrême gauche (6). Cette réalité découle de la stricte application de la doctrine de Gramsci(7) qui a théorisé la prise du pouvoir culturel par les intellectuels en noyautant toutes les institutions.

L’ONU n’est plus l’ONU mais un instrument de la révolution pour les communistes. Que penser en effet de la question insidieuse posée par Mario Lavoie, membre du Forum international de Montréal et coordonnateur du volet «Pour les Nations unies, plus de démocratie…plus de pouvoir»: «Peut-on pressentir de nouvelles formes de gouvernance à la suite des conférences de l’ONU tenues à Durban, à Monterrey ou à Johannesburg?». Telle est une des questions censées faire l’objet d’un «débat» lors de la conférence. Mais poser cette question c’est y répondre: l’ONU doit se transformer pour devenir non pas un organe de protection de la paix mais un instrument de redistribution économique et de planification, un moyen de faire advenir le socialisme mondial.

Autre question inquiétante qui sera débattue: «Le système démocratique de gouvernance mondial doit-il choisir l’ONU comme organe suprême?». Quand je lis ça une association de pensée se produit comme un réflexe d’auto-défense: organe suprême=soviet suprême. Quant à la prétendue démocratie comment ne pas se souvenir que les régimes marxistes s’auto-proclamaient «démocraties populaires». Ainsi tous les ingrédients sont là: une minorité d’activistes tapageurs gangrène les institutions et les médias, répètent à l’envi que le monde est injuste, que le pauvre Sud est victime du Nord qui s’enrichit au détriment d’une classe (celle des nations pauvres) et grâce à cette exploitation.

Etablissons la démocratie mondiale, ruinons les riches pour aider les pauvres à se développer et instaurons le partage universel administré par un Soviet suprême, un pouvoir suprême qui représentera les opprimés, du moins leurs intérêts, c’est-à-dire leurs intérêts tels que le Soviet suprême les a définis. Non monsieur Lavoie! Ne nous resservez pas ce plat avarié, on a déjà consommé. Malheureusement le négationnisme qui sévit empêche encore l’opinion publique de prendre pleinement conscience des crimes du communisme, de son fonctionnement intellectuel et politique. Le procès du communisme n’a pas encore eu lieu et on peut donc saluer la parution du livre de Stéphane Courtois, « Du passé faisons table rase, Histoire et mémoire du communisme en Europe » (Robert Laffont, octobre 2002)(8), faisant suite au « livre noir du communisme ».

Et la francophonie dans tout ça?

Eh oui! La question est posée. «La société civile de la Francophonie (sic) peut-elle imposer ses vues, ses valeurs, sa culture et ses institutions dans la construction d’une gouvernance mondiale? Comment peut-elle éviter qu’une telle gouvernance soit dessinée à l’image des économies et des cultures dominantes, oubliant ainsi les valeurs de la société civile francophone?» (Jean St-Denis, centrale des syndicats du Québec).Un syndicaliste! Mais comment ne l’a-t-on pas deviné? Non mais qu’est-ce qu’il veut celui-ci? Créer un nouveau statut de patrimoine mondial de l’humanité, d’une nouvelle espèce protégée? Il faudrait qu’il comprenne qu’on empêche personne de s’isoler du monde parce qu’il refuse de parler la langue que les autres parlent, ni de se réunir avec des amis pour parler le volapük. Une langue n’a aucun droit. Et si personne ne veut parler le volapük ce serait vraiment un acte de pure dictature que forcer les autres à le faire.

Ce que ces marxistes nous préparent dans leur chaudron onusien c’est un marchandage planétaire des « droits à » dont l’issue prévisible n’est pas autre chose que des conflits perpétuels, une guérilla sociale dont ils sont déjà les meneurs bien rémunérés. Le conflit social, ils en vivent; pas étonnant qu’ils l’instituent. Rappelons que le Droit doit, pour être cohérent et applicable, rester compatible avec un principe absolu: la non-agression. Non-agression de la personne, non-agression de la propriété légitime. Tout le monde peut observer ce principe universel car il est non contradictoire. Or ce n’est pas le cas des faux droits que veulent instaurer les communistes onusiens. Leurs «droits» ne sont que des faveurs accordées aux uns en agressant la propriété des autres. Un marchandage réglé et institué par la force.

Vers un parlement mondial

A force de répéter une idée, et en commençant doucement, on finit par la rendre évidente. Surtout quand on n’en mesure pas encore les conséquences et qu’on pense qu’elle est dans la continuité de ce qu’on connaît déjà. Or nous connaissons la démocratie, lieu commun de la pensée politique. «La démocratie c’est bien, plus de démocratie c’est mieux», voilà l’axiome de notre temps où les idéologies avancent masquées. Donc, si la démocratie c’est bien, pourquoi ne pas l’étendre à l’infini. Pourquoi ne pas instaurer la démocratie mondiale? Hoppe a déjà répondu (voir le texte donné en référence). Si la démocratie est concevable à petite échelle, elle deviendra, à l’échelle planétaire, la dictature de la majorité et/ou de la minorité des hommes de l’Etat mondial.

Voilà exactement ce que recherchent les communistes qui noyautent l’ONU. J’appelle communistes ceux qui visent à mettre les hommes et leurs activités non criminelles sous le contrôle d’un état censé incarner l’intérêt des «prolétaires», des «pauvres», des «francophones», bref toutes les minorités déclarées opprimées par le capitalisme. En réalité, comme l’histoire l’a démontré, un tel état serait plus criminel, plus oppresseur que n’importe quelle mafia car il n’y aurait plus aucun moyen de lui échapper.

Or le président de l’Assemblée national du Québec, Jean-Pierre Charbonneau, pose quelques jalons supplémentaires pour habituer l’opinion publique à l’avènement «inéluctable» (la loi historique marxiste) d’un parlement mondial. On discutera de «la valeur su système parlementaire dans l’optique de la gouvernance mondiale», du «rôle transnational des parlements». Les hommes de l’état de tous les pays ont bien évidemment intérêt à protéger leur pouvoir en créant un cartel politique et c’est exactement ce qu’ils font. Ainsi, en créant une machinerie politique planétaire ils pourront continuer à faire carrière tranquillement, à transmettre leur pouvoir et le perpétuer en créant eux-mêmes les problèmes qui donneront du travail à leurs successeurs.

D’après les organisateurs «les droits humains sont de plus en plus exposés à une multitude de dangers». Mais nous connaissons leur conception des droits humains. Elle est fondée sur la destruction de la propriété privée, sur la violation du droit d’échanger librement. Ainsi «on débattra des mérites de l’imposition éventuelle d’une taxe sur les transactions financières ou d’autres nouvelles formes de contrôle». Le programme de destruction économique est sur les rails. Ces gens n’ont donc rien appris des expériences socialistes passées.

Si le socialisme n’a pas marché à l’échelle d’un pays, essayons-le à l’échelle de la planète! C’est d’une logique implacable. Mais c’est vrai finalement. Lorsqu’un seul système sera imposé à toutes les nations par leurs classes politiques il n’y aura plus de point de comparaison. Mais il restera toujours des Winston (Orwell,1984) pour retrouver le fil qui conduit aux lois naturelles de la condition humaine. Une gouvernance mondiale est irréaliste, insupportable, comme toutes les tyrannies. La démocratie illimitée est désormais le nouveau principe de l’expansion du collectivisme. En l’absence de toute idéologie concurrente, la démocratie est d’ores et déjà le cheval de Troie du communisme et de l’étatisme, avec la complicité béate des démocrates sociaux qui nous gouvernent. Ce forum G02 de la «gouvernance mondiale» est un laboratoire pour une tyrannie.
(1)http://www.fimcivilsociety.org/g02/
(2)http://www.fimcivilsociety.org/g02/french/index.html
(3)http://www.fimcivilsociety.org/g02/french/g02 programme preliminaire.pdf
(4)http://www.liberalia.com/htm/hhh_a_bas_democratie.htm
(5)http://www.euro92.org/edi/bull/archives/arch37afrique.htm
http://www.euro92.org/edi/biblio/soto.htm
(6) Ce noyautage et cette perversion des institutions internationales par les communistes ont été amplement démontré par Pascal Bernardin dans son livre, L’empire écologique . Voir mon article Le fascisme écologique et l’état mondial en devenir, http://quebecoislibre.org/020413-3.htm et aussi sur euro92.org, le mondialisme vert, http://www.euro92.org/edi/biblio/bernardin2.htm
(7)http://membres.lycos.fr/ideologues/Gramsci.html
(8)http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/2221095006/171-8798096-5930649